Prière de Ja‘far at-Tayyâr (p)

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Prière de Ja‘far at-Tayyâr (p) (en arabe: صَلاةُ جَعفَر الطَیّار) ou la prière d'at-Tasbîh ou la prière d'al-Habwa est l'une des prières recommandées les plus connues. Elle est rapportée, selon une chaîne de transmission considérée à l’extrême, comme ayant des faveurs grandioses.

C'est le Prophète (s) qui a privilégié Ja‘far At-tayyâr pour l'apprendre cette prière précieuse. Lorsque le prophète (s) a vu Ja‘far arrive après l'ouverture de Khaybar saint et sauf, il était très heureux, alors il lui offert cette prière comme Médaille spirituel.

Nomination

Cette prière est nommée la prière de Ja‘far b. Abî Tâlib parse que le Prophète (s) lui a privilégié pour l'apprendre cette prière précieuse. L'histoire dit que le prophète (s) a vu Ja‘far arrive après l'ouverture de Khaybar saint et sauf, il était très heureux, alors il lui offert cette prière comme Médaille spirituel.[1]

Cette prière est nommée encore; la prière d'at-Tasbîh (Louange) car le prieur récite trois cent Louanges lors de cette prière.

Cette prière est aussi nommée la prière d'al-Habwa (don; présent) car le Prophète (s) l'offrit à Ja‘far.

Mérites

L'Imam as-Sâdiq (a) dit:

Le jour de Khaybar, lorsque Ja‘far ibn Abî Tâlib revint de l'Abyssinie, le Prophète (s) demanda: Ne veux-tu pas une récompense ou un cadeau? Ja‘far dit : Pourquoi pas ô Messager d'Allah. Le prophète (s) lui dit : Je vais te donner quelque chose que si tu l'accomplis tous les jours, cela vaudra mieux pour toi que tous les cadeaux de ce monde. Et si tu l'accomplis une fois tous les deux jours alors Allah pardonnera les péchés que tu auras fait pendant ces deux jours et si tu l'accomplis tous les vendredi, toutes les semaines, tous les mois ou une fois par an, alors Allah pardonnera tous les péchés que tu as accomplit entre ces périodes.[2]

Cheikh Abbâs al-Qummî dit dans son livre Mafâtîh al-Jinân :

Cette prière est un élixir grandiose, de soufre rouge (très précieuse). Elle est rapportée, selon une chaîne de transmission considérée à l’extrême, comme ayant des faveurs grandioses. La plus importante de ses faveurs, le pardon des péchés grandioses.

Certains érudits religieux ont recommandé la prière de Ja‘far Tayyâr pour des travaux importants ainsi que pour accélérer le mariage.

Comment se fait la prière de Ja‘far ?

Le meilleur moment pour faire cette prière est au début du Vendredi et elle est composée de 4 raka'ats avec deux tashâhhud et deux taslims.

Lire lors de la première rak‘at, après al-Hamd, la sourate az-Zilzâl, et lors de la seconde, après al-Hamd, la sourate al-‘Âdiyât. A la troisième rak‘at, réciter, après al-Hamd, la sourate an-Nasr et à la quatrième rak‘at, après al-Hamd, la sourate at-Tawhîd. Après avoir fini la lecture [du Coran], pour chaque rak‘at, dire 15 fois, avant l’inclination : (at-Tasbîhât al-Arba‘a) c'est-à-dire سُبْحانَ اللهِ ، وَالْحَمْدُ لِلهِ ، وَلا إِلٰهَ إِلّا اللهُ ، وَاللهُ أَكْبَرُ Subhâna-llâhi, wa-l-hamdu li-llâhi, wa lâ ilâha illa-llâhu, wa-llâhu akbaru. Gloire à Dieu, Louange à Dieu, il n'y a de Dieu que Dieu, Dieu est plus Grand !

Durant l’inclination, dire la même chose (at-Tasbîhât al-Arba‘a) mais 10 fois. En se redressant, dire la même chose 10 fois. Lors de la prosternation, dire de même 10 fois. Au moment de se redresser de la prosternation, dire la même chose, en étant assis. Faire de même lors de la seconde prosternation. Avant de se lever pour la seconde rak‘at, le dire également 10 fois, assis. Faire ainsi pour les quatre raka‘ât.[3]

Au total, cela fait 300 glorifications (at-Tasbîhât al-Arba‘a).

Une Du‘â dans la prière de Ja‘far

L’Imâm as-Sâdiq (a) a dit : « Quand tu as fini les glorifications lors de la seconde prosternation de la quatrième rak‘at, [dis] :[4]

Traduction Phonétique Texte arabe
Gloire à Celui qui s’est revêtu de la Puissance et de la Grandeur, Gloire à Celui qui s’est enveloppé de la Majesté et s’en est montré Généreux, Gloire à Celui qui, seul, doit être Glorifié, Gloire à Celui dont le Savoir dénombre toute chose, Gloire à Celui qui détient la Grâce et les Bienfaits, Gloire à Celui qui détient la Puissance et la Noblesse ! Subhâna man labisa al-‘izza wa-l-waqâra, Subhâna man ta‘attafa bi-l-majdi wa takarrama bihi, Subhâna man lâ yanbaghî at-tasbîhu illâ lahu, Subhâna man ahsâ kulla shay’in ‘ilmuhu, Subhâna dhî-l-manni wa-n-ni‘ami, Subhâna dhî-l-qudrati wa-lkarami, سُبْحانَ مَنْ لَبِسَ الْعِزَّ وَالْوَقارَ ، سُبْحانَ مَنْ تَعَطَّفَ بِالْمَجْدِ وَتَكَرَّمَ بِهِ ، سُبْحانَ مَنْ لَايَنْبَغِى التَّسْبِيحُ إِلّا لَهُ ، سُبْحانَ مَنْ أَحْصىٰ كُلَّ شَىْءٍ عِلْمُهُ ، سُبْحانَ ذِى الْمَنِّ وَالنِّعَمِ ، سُبْحانَ ذِى الْقُدْرَةِ وَالْكَرَمِ ،
Mon Dieu, je Te demande par les Lieux de la Puissance de Ton Trône, par l’extrême de la Miséricorde de Ton Livre et par Ton Nom grandiose, par Tes Mots accomplis qui se sont accomplis en Vérité et Justice, de prier sur Mohammed et les gens de sa maison et de faire de moi « cela et cela »... Et fais ta demande à la place des mots « cela et cela ». » Allâhumma, innî as’aluka, bima‘âqidi-l-‘izzi min ‘arshika, wa muntahâ-r-rahmati min kitâbika, wa-smika al-‘azhami, wa kalimâtika at-tâmmati al-latî tammat sidqan wa ‘adlan, salli ‘alâ Muhammadinn wa ahli baytihi wa-f‘al bî (kadhâ wa kadhâ). اللّٰهُمَّ إِنِّى أَسْأَلُكَ بِمَعاقِدِ الْعِزِّ مِنْ عَرْشِكَ ، وَمُنْتَهَى الرَّحْمَةِ مِنْ كِتابِكَ ، وَاسْمِكَ الْأَعْظَمِ وَكَلِماتِكَ التَّامَّةِ الَّتِى تَمَّتْ صِدْقاً وَعَدْلاً ، صَلِّ عَلىٰ مُحَمَّدٍ وَأَهْلِ بَيْتِهِ ، وَافْعَلْ بِى (كَذا وَكَذا)


Autre Du‘â après la prière de Ja‘far

Al-Mufaddal b. ‘Omar a dit : J’ai vu l’Imâm as-Sâdiq (a) prier la prière de Ja‘far fils d’Abû Tâlib (p), puis lever les mains et invoquer Dieu de cette invocation :

Traduction Phonétique Texte arabe
Ô Seigneur ! Ô Seigneur ! (jusqu'à perdre le souffle) Yâ rabbi, yâ rabbi. یَا رَبِّ یَا رَبِّ (حتّى انقطع النّفس)
Ô mon Seigneur ! Ô mon Seigneur ! (jusqu'à perdre le souffle) Yâ rabbâhu, yâ rabbâhu. یَا رَبَّاهُ یَا رَبَّاهُ (حتّى انقطع النّفس)
Seigneur ! Seigneur ! (jusqu’à perdre le souffle) Rabbi, rabbi. رَبِّ رَبِّ (حتّى انقطع النّفس)
Ô Dieu ! Ô Dieu ! (jusqu'à perdre le souffle) Yâ Allâhu, yâ Allâhu. یَا اللهُ یَا اللهُ (حتّى انقطع النّفس)
Ô Vivant ! Ô Vivant ! (jusqu’à perdre le souffle) Yâ hayyu, yâ hayyu. یَا حَیُّ یَا حَیُّ (حتّى انقطع النّفس)
Ô Très-Miséricordieux ! Ô Très-Misérieordieux ! (jusqu'à perdre le souffle) Yâ rahîmu, yâ rahîmu. یَا رَحِیمُ یَا رَحِیمُ (حتّى انقطع النّفس)
Ô tout-Miséricordieux ! Ô tout-Miséricordieux ! (7 fois) Yâ rahmânu, yâ rahmânu. یَا رَحْمٰنُ یَا رَحْمٰنُ (سبع مرّات)
Ô le plus Miséricordieux des miséricordieux ! (7 fois) Yâ arhama ar-râhîmîna. یَا أَرْحَمَ الرَّاحِمِینَ (سبع مرّات)
Ô Mon Dieu, je commence mes propos par Ta Louange, je fais Ton Eloge et Te glorifie, et il n’y a pas de fin pour Ton Panégyrique et Ton Eloge ! Allâhumma, innî aftatihu-l-qawla bi-hamdika, wa antiqu bi-ththannâ’i ‘alayka, wa umajjiduka, Wa lâ ghâyata li-mad’hika, wa uthnî ‘alayka. اللّٰهُمَّ إِنِّى أَفْتَتِحُ الْقَوْلَ بِحَمْدِكَ ، وَأَنْطِقُ بِالثَّناءِ عَلَيْكَ ، وَاُمَجِّدُكَ وَلَا غَايَةَ لِمَدْحِكَ ، وَأُثْنِى عَلَيْكَ
Et qui atteint la fin de Tes Eloges et le terme de Ton Apologie ? D’où, pour Tes Créatures, l’Essence de la Connaissance de Ta Magnificence ? A quelle époque n’as-Tu pas été Loué par Ta Faveur, Qualifié de Ta Gloire, revenant sans cesse auprès des pécheurs par Ta Mansuétude ? Wa man yablughu ghâyata thanâ’ika wa amada majdika, wa annâ li-khalîqatika kunhu ma‘rifati majdika. Wa ayya zamaninn lam takun mamdûhann bi-fadlika, mawsûfann bi-majdika, ‘awwâdann ‘alal-mudhnibîna bi-hilmika. وَمَنْ يَبْلُغُ غايَةَ ثَنَائِكَ وَأَمَدَ مَجْدِكَ ، وَأَنَّىٰ لِخَلِيقَتِكَ كُنْهُ مَعْرِفَةِ مَجْدِكَ ، وَأَىَّ زَمَنٍ لَمْ تَكُنْ مَمْدُوحاً بِفَضْلِكَ ، مَوْصُوفاً بِمَجْدِكَ ، عَوَّاداً عَلَى الْمُذْنِبِينَ بِحِلْمِكَ ،
Les habitants de Ta terre ne T’ont pas obéi et Tu as été à leur égard Plein de Bontés par Ta Générosité, Généreux par Ta Faveur, retournant à eux par Ta Noblesse, ô Celui, point de divinité autre que Toi, le Bienfaiteur, Plein de Majesté et de Noblesse ! Takhallafa sukkânu ardika ‘an tâ‘atika, fa-kunta ‘alayhim ‘atûfann bi-jûdika, jawâdann bi-fadlika ‘awwâdann bi-karamika, yâ lâ ilâha illâ anta, al-mannânu dhû-l-jalâli wa-l-ikrâmi ! تَخَلَّفَ سُكَّانُ أَرْضِكَ عَنْ طَاعَتِكَ ، فَكُنْتَ عَلَيْهِمْ عَطُوفاً بِجُودِكَ ، جَوَاداً بِفَضْلِكَ ، عَوَّاداً بِكَرَمِكَ ، يَا لَاإِلٰهَ إِلّا أَنْتَ الْمَنَّانُ ذُو الْجَلَالِ وَالْإِكْرامِ


Il (a) me dit :

« Ô Mufaddal ! Si tu as une demande importante, fais cette prière et invoque [Dieu] de cette invocation et fais ta demande. Dieu te la satisfera, avec la Volonté de Dieu Très-Elevé. »[5]

Autre Du‘â après la prière de Ja‘far

Cheikh Abbâs al-Qummî dit dans son livre Mafâtîh al-Jinân : À propos de la satisfaction d’un besoin Cheikh at-Tûssî rapporte de l’Imâm as-Sâdiq (a) qui dit :

« Jeûne mercredi, jeudi et vendredi. Le jeudi soir, fais l’aumône à 10 nécessiteux [en donnant] à chacun une quantité [3/4kg] de nourriture. Le vendredi, tu fais la douche rituelle (les grandes ablutions), tu vas à découvert dans le désert et tu pries la prière de Ja‘far fils d’Abî Tâlib. Découvre tes genoux et colle-les au sol et dis : [6]
Traduction Phonétique Texte arabe
Ô Celui qui a fait apparaître le Beau et dissimule le laid, ô Celui qui ne prend pas en fonction du péché et qui ne déchire pas le voile, ô Celui au Pardon grandiose, ô Celui à la bonne Indulgence, ô Celui à la Rédemption étendue, Yâ man azh’hara-l-jamîla wa satara-l-qabîha, yâ man lam yu’âkhidh bi-l-jarîrati wa lam yahtiki as-sitra, yâ ‘azhîma-l-‘afwi, yâ hasana at-tajâwuzi, yâ wâsi‘a-l-maghfirati, يَا مَنْ أَظْهَرَ الْجَمِيلَ ، وَسَتَرَ الْقَبِيحَ ، يَا مَنْ لَمْ يُؤاخِذْ بِالْجَرِيرَةِ ، وَلَمْ يَهْتِكِ السِّتْرَ ، يَا عَظِيمَ الْعَفْوِ ، يَا حَسَنَ التَّجَاوُزِ ، يَا وَاسِعَ الْمَغْفِرَةِ ،
Ô Celui qui tend Ses Mains par Miséricorde, ô Maître de tout conciliabule et Aboutissement de toute plainte, ô Celui qui relève des faux-pas, ô Celui au Pardon généreux, ô Celui aux Bienfaits grandioses, ô Celui qui prend l’initiative de [donner] les bienfaits avant qu'ils ne soient mérités, yâ bâsita-l-yadayni bi-r-rahmati, yâ sâhiba kulli najwâ wa muntahâ kulli shakwâ, yâ muqîlal-‘atharâti, yâ karîma-s-safhi yâ ’azhîma-l-manni, yâ mubtadi'ann bi-n-ni’ami qabla istihqâqihâ, يَا بَاسِطَ الْيَدَيْنِ بِالرَّحْمَةِ ، يَا صَاحِبَ كُلِّ نَجْوَىٰ ، وَمُنْتَهَىٰ كُلِّ شَكْوَىٰ ، يَا مُقِيلَ الْعَثَرَاتِ ، يَا كَرِيمَ الصَّفْحِ ، يَا عَظِيمَ الْمَنِّ ، يَا مُبْتَدِئاً بِالنِّعَمِ قَبْلَ اسْتِحْقاقِهَا؛
Ô mon Seigneur, (10 fois) yâ rabbâhu, يَا رَبَّاهْ (عشر مرّات)
Ô Dieu, (10 fois) yâ Allâhu, يا اللهُ (عشر مرّات)
Ô mon Souverain, (10 fois) yâ sayyidâhu, يا سيداهُ (عشر مرّات)
Ô mon Maître, (10 fois) yâ Mawlâyâhu, يا مولاياهُ (عشر مرّات)
Ô mon Espoir, (10 fois) yâ rajâ’âhu, يَا رَجَاءاهُ (عشر مرّات)
Ô mon Secours, (10 fois) yâ ghiyâthâhu, يَا غِيَاثَاهُ (عشر مرّات)
Ô But de mon désir, (10 fois) yâ ghâyata raghbatâhu, يَا غَايَةَ رَغْبَتَاهُ (عشر مرّات)
Ô Tout-Miséricordieux, (10 fois) yâ rahmânu, يَا رَحْمٰنُ(عشر مرّات)
Ô Très-Miséricordieux, (10 fois) yâ rahîmu, يَا رَحِيمُ (عشر مرّات)
Ô Donateur des biens, (10 fois) yâ mu‘tiya-l-khayrâti, يَا مُعْطِىَ الْخَيْرَاتِ (عشر مرّات)
prie bien et beaucoup sur Mohammed et sur la famille de Mohammed, de la meilleure prière que Tu n’aies priée sur quiconque de Tes créatures ! (10 fois )

Puis faire sa demande. »

salli ‘alâ Muhammadinn wa âli Muhammadinn kathîrann tayyibann, ka-afdali mâ sallayta ‘alâ ahadinn min khalqika. صَلِّ عَلىٰ مُحَمَّدٍ وَآلِ مُحَمَّدٍ كَثِيراً طَيِّباً كَأَفْضَلِ مَا صَلَّيْتَ عَلىٰ أَحَدٍ مِنْ خَلْقِكَ (عشر مرّات، واطلُب حاجَتَك)


Puis Cheikh Abbâs al-Qummî dit : Il y a beaucoup de propos rapportés dans lesquels il est dit que pour la satisfaction de besoins, la personne doit jeûner ces trois jours [mercredi, jeudi et vendredi] et prier deux raka'ats le vendredi à midi.[7]

Articles concernant la prière de Ja‘far

  • Le prieur peut accomplir cette prière dans la journée ou dans la nuit, qu'il soit dans son lieu de résidence ou en voyage, durant de l'année. Le prieur peut se contenter par l'accomplissement de la prière de Ja‘far à la place de quatre unité des prières surérogatoire quotidiennes. Par exemple : s'il accompli la prière de Ja‘far le soir, il peut se contenter par cette prière à la place de la prière surérogatoire du Maghreb qui est également composée de quatre unités.
  • La prière de Ja‘far est spécifiquement recommandée dans la matinée du vendredi et surtout la nuit de 15 Sha‘bân.
  • Il est licite, lors de la prière de Ja‘far, de réciter directement dans le Saint Coran lorsque le prieur ne connaît pas les Sourates cités ci-devant par cœur.
  • Si le prieur est pressé, il peut l'accomplir sans les quatre Tasbihs puis il rettraper les quatre Tasbihs après la prière.

Références

  1. Cheikh as-Sadûq, Man lâ yahzuruhu al-Faqîh, v 1 p 553; Cheikh al-Hurr al-ʻÂmilî, Al-Wasâ’il, vol 8, p 51
  2. Al-Kulaynî, Al-Kâfî, v 3 p 465
  3. Cheikh at-Tûssî, Tahdhîb al-Ahkâm, v 3 p 186
  4. Al-Kulaynî, Al-Kâfî, v 3 p 467
  5. Allâma al-Mjlisî, Zâd al-Ma‘âd, p 323
  6. Cheikh at-Tûssî, Misbâh al-Mutahajjid, p 330; Cheikh al-Hurr al-ʻÂmilî, Al-Wasâ’il, vol 8, p 57
  7. Cheikh Abbâs al-Qummî, Mafâtî al-Jinân (Les clés du paradis) p 141, sous le titre de la prière de Ja‘far