Utilisateur anonyme
« Abd al-Muttalib » : différence entre les versions
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Selon certains rapports, Abd al-Muttalib était [[monothéiste]] et adhérait à la religion de [[Hanîf]] (une religion qui se conforme au fitra ou à la nature humaine, se réfère à la religion propagée par tous les prophètes d'[[Adam (a)]] au [[Prophète Muhammad (s)]]). [[Al-Mas'ûdî]], l’historien de [[3ième siècle de l’Hégire]], constate qu’il existe certains désaccords sur la religion d’Abd al-Muttalib et un des hypothèses valables est que ni 'Abd al-Muttalib, ni les autres ancêtres du [[Prophète (s)]] n’étaient les idolâtres.<ref>Ali b. al-Husayn al-Mas'ûdî, ''Murawwij adh-Dhahab wa Ma'âdin al-Jawhar'', vol. II, p 109, Qom, Dâr al-Hijra, 1409 H.</ref> | Selon certains rapports, Abd al-Muttalib était [[monothéiste]] et adhérait à la religion de [[Hanîf]] (une religion qui se conforme au fitra ou à la nature humaine, se réfère à la religion propagée par tous les prophètes d'[[Adam (a)]] au [[Prophète Muhammad (s)]]). [[Al-Mas'ûdî]], l’historien de [[3ième siècle de l’Hégire]], constate qu’il existe certains désaccords sur la religion d’Abd al-Muttalib et un des hypothèses valables est que ni 'Abd al-Muttalib, ni les autres ancêtres du [[Prophète (s)]] n’étaient les idolâtres.<ref>Ali b. al-Husayn al-Mas'ûdî, ''Murawwij adh-Dhahab wa Ma'âdin al-Jawhar'', vol. II, p 109, Qom, Dâr al-Hijra, 1409 H.</ref> | ||
[[Cheikh as-Sadûq]] raconte de [[ | [[Cheikh as-Sadûq]] raconte de l'[[Imam Ja'far as-Sâdiq (a)]] que le [[Prophète (s)]] dit à [[Imam Ali (a]]) : <br /> | ||
::« Abd al-Muttalib n’a jamais pratiqué les jeux (de hasard, d’argent), ni vénéré les idoles et il affirmait qu’il croyait à la religion de son ancêtre, Ibrâhîm.<ref>Cheikh as-Sadûq, Khisâl, vol I, p. 455, traduit de l’arabe en persan par Jâ'farî, Jâmi’iyi Mudarrisîn, Qom, 1362 HS.</ref> | ::« Abd al-Muttalib n’a jamais pratiqué les jeux (de hasard, d’argent), ni vénéré les idoles et il affirmait qu’il croyait à la religion de son ancêtre, Ibrâhîm.<ref>Cheikh as-Sadûq, Khisâl, vol I, p. 455, traduit de l’arabe en persan par Jâ'farî, Jâmi’iyi Mudarrisîn, Qom, 1362 HS.</ref> | ||