Abd Allah b. Umar

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Abd Allah b. Umar
  • Compagnon du Prophète (s)
La tombe de Abd Allah b. Umar à La Mecque
La tombe de Abd Allah b. Umar à La Mecque
Présentation
naissance
décès
martyre
Famille
parentsUmar ibn al-Khattab, * Zaynab bt. Maz'ûn
enfant
  • Salim
Successeurs du Prophète (s)
Imam Ali (a) . Imam Hasan (a) . Imam Husayn (a) . Imam Husayn (a) . Imam Sajjad (a) . Imam Baqir (a) . Imam Sadiq (a) . Imam Kazim (a) . Imam Rida (a) . Imam Jawad (a) . Imam Hadi (a) . Imam Hasan Askarî (a) . Imam Mahdi (a)


Abd Allah b. Umar b. al-Khattab (en arabe : عبد الله بن عمر) ou Ibn Umar (en arabe : ابن عمر), (année 3 après al-Bi’tha - 73 H) fut l'un des compagnons du Prophète (s), le fils du deuxième calife et le frère de l'épouse du Prophète (s) (Hafsa).

Quand il avait 10 ans, il se convertit à l'islam avec son père et émigra à Médine avant lui. Les sources sunnites lui présentent comme un homme faible et dupe qui interdit la manifestation contre les tyrans.

Il fait l’allégeance avec les trois premiers califes. Son père le nomma comme le conseiller pour déterminer le calife après lui. Uthman bin Affan lui proposa de juger, mais il ne l'accepta pas. À l'époque de l'Imam Ali (a), bien qu'Abd Allah rapporte plusieurs mérites pour l'Imam, il ne prêta pas allégeance avec l'Imam Ali (a) mais, il prêta allégeance avec Yazid b. Muawiya.

Quand l'Imam al-Husayn (a) se dirigea vers Koufa, il interdit l'Imam de se battre contre Yazid, mais l'Imam ne l’écouta pas.

Il est mort en l'an 73 H, à l'âge 84 et enterra à cimetière de Muhadjirun dans la région d’al-Fakhkh.

Biographie

Abd Allah b. Umar ou ibn Umar fut l'un des compagnons du Prophète (s), le fils du deuxième calife et le frère de Hafsa (l'épouse du Prophète (s)).[1] Son titre fut Abû Abd ar-Rahman.

Il naquit 3 ans après al-Bi’tha du Prophète (s)[2].

Sa mère fut Zaynab b. Maz'ûn. Il est dit qu'il se convertit à l'islam à l'âge de 10 ans accompagné de son père et avant ce dernier émigra à Médine[3].

Ibn Umar fut très prudent dans la vie et donc aussi dans ses fatwâ.[4].

Les sources sunnites lui présentèrent comme un homme faible[5] et dupe[6] qui interdisait les gens de manifester contre les tyrans[7] et disait :

Je ne me battrai pas dans la tentation et je fait la prière derrière quiconque gagne[8].

Il est dit que dans l'événement d'al-Hakamîyya (Arbitrage), Abû Mûsâ al-Ash'arî proposa le califat d‘Abd Allah b. Umar, mais ‘Amr b. al-'Âs dit qu'il n'a pas la qualification pour ce poste[9].

Vie

A l'époque du Prophète (s)

Au moment des batailles d'Uhud et de Badr, Abd Allah b. Umar fut un enfant et pour cette raison, le Prophète (s) ne lui permit pas de participer dans ces batailles.

À l'âge de 15 ans, la bataille d’al-Khandaq fut la première bataille dans laquelle, il fut autorisé de participer. Il participa également à la bataille de Mu'ta[10].

Les sources historiques sunnites rapportèrent que dans la bataille de Mu’ta, lui-même et certains autres musulmans, lorsqu’ils pensèrent que les ennemis sont sur le point de gagner la bataille, ils s'échappèrent du champ de bataille et retournèrent à Médine. Après cette fuite , ils s'excusèrent auprès du Prophète (s) et furent pardonnés[11].

A l'époque des trois premiers califes

Articles connexes : Umar, Abu Bakr et Uthman.

Abd Allah ne fut pas considéré comme un homme influent dans la politique et le gouvernement. Il y a seulement quelques rapports sur sa participation aux batailles. Après le décès du Prophète (s), pendant le califat d'Abu Bakr, Abd Allah fut l'une des armées de Usâma b. Zayd.

Umar, au temps de son califat, forma un conseil de six membres pour choisir son successeur, et nomma son fils, Abd Allah comme un conseiller, mais ne lui permit pas de se présenter comme un candidat pour le califat[12].

À cette époque-là, il participa aux guerres de Nahavand et à la conquête de l’Égypte[13].

Selon les historiens, Abd Allah ne jugea jamais et quand Uthman lui proposa le poste de jugement, il ne l'accepta pas[14].

Yazid b. Hârûn rapporta qu'Ibn al-Umar dit :

Je suis avec quelqu'un qui est plus sage que moi, si je savais que vous voulez me choisir de juger et que vous me pose des questions, j'apprendrais quelque chose[15].

Après l'assassinat de Uthman b. Affan, certains comme Marwân b. al-Hakam lui proposa d’accepter le califat. Abd Allah dit :

Même si un petit groupe de personnes s'oppose à mon califat, je ne l'accepterai pas[16].

A l'époque de l'Imam Ali (a)

Article connexe : Imam Ali (a).

Quand l'Imam Ali (a) devint le calife, 'Ammâr b. Yâsir demanda la permission de parler avec Abd Allah b. Umar pour faire allégeance. Abd Allah parla beaucoup sur les mérites de l'Imam Ali (a), mais ne fait pas allégeance avec l'Imam (a)[17].

Il rechercha davantage de faire les cultes individuels et ne se considéra pas compétent en questions sociales et ainsi, l'Imam Ali (a) dit à 'Ammâr :

Laisse Abd Allah ! il est une personne faible[18]. Et aussi, l’Imam (a), dans sa réponse à une personne qui dit :
« Je n’interviendrai pas dans les questions comme 'Abd Allah b. 'Umar ", déclara 'Abd Allah n'assiste pas la vérité, ni ne se bat contre le faux[19].

Bien qu’Ibn Umar ne fasse pas allégeance avec l'Imam Ali (a), ne se battit pas contre l'Imam Ali (a) et ne soutint pas les opposants de l'Imam (a)[20].

Selon certaines sources sunnites déclarent que ‘Abd Allah, à la fin de sa vie, regretta de ne faire pas allégeance avec l'Imam Ali (a) et dit :

Je ne regrette aucune de mes actions, sauf, je ne me battis pas contre les ennemis à côté de Ali (a).[21]

Empêchement de l'Imam al-Husayn (a) d’aller vers Irak

Abd Allah gardait le silence sur la vérité et le faux et disait qu'il était interdit de rompre allégeance et du soulèvement, même contre les tyrans.

Il dit à l'Imam al-Husayn (a) que j'entende du Prophète (s) qu'il avait dit :

Al-Husayn sera tué.

Il conseilla à l'Imam de ne pas aller à Koufa et de retourner à Médine, mais l'Imam ne l'accepta pas et poursuivit son chemin.

À cette époque-là, Abd Allah fait allégeance avec Yazid b. Muawiya et lui considéra comme le successeur du Prophète (s).[22]

Lettre à Muawiya

Abd Allah, dans un lettre à Muawiya, écrit :

Tu penses, car je laisse Ali, les Muhadjirun et Ansar, je t'accompagnerai ? Je ne fais pas allégeance avec Ali, car je ne suis pas comme Ali dans la foi, dans la place auprès du Prophète (a) et dans la victoire sur les mécréants et que je ne me souviens aucun conseil du Prophète (s) sur ce sujet, alors, inévitablement, je ne pris aucun parti et je me suis dit que si ça soit la voie de la conduite, je ne recevrai aucune récompense et si ça soit la voie de l'égarement, je vais échapper à un mal. Alor, ne me poursuis plus[23].

Selon at-Tabarî, ‘Amr b. al-’Âs demandé à Abû Mûsâ al-Ash'arî de choisir un homme pour le califat, il présenta Abd Allah b. Umar, mais il ne l'accepta pas. Ensuite ‘Amr b. al-’Âs dit :

je présente Muawiya pour dirigeant les gens[24].

Muawiya à propos du califat dit à son fils, Yazid :

Je crains quelques personnes de s’opposer à ton califat et l’un d’entre eux est Abd Allah b. Umar.

Ensuite, il ajouta :

Abd Allah s'occupa du culte et de la piété et si tout le monde prêtera allégeance avec toi, il en ferait aussi[25].

Allégeance avec Yazid

Après la mort de Muawiya, al-Walîd b. 'Utba, le gouverneur de Médine, demanda à Abd Allah de faire allégeance avec Yazid ; Abd Allah dit qu’il ne cherchais pas le conflit, mais quand tout le monde fait allégeance, je fais aussi et parce que Abd Allah n'eut pas de danger de soulèvement, al-Walîd le laissa.[26].

Al-Wâqidî dit :

al-Walîd b. 'Utba ne réussit pas de prendre allégeance d'Ibn Zubayr et d'al-Husayn et ils allèrent, dans la nuit, à La Mecque. Au milieu du chemin, Abd Allah b. Umar les rencontra et leur demanda des nouvelles de Médine. Ils dirent : Muawiya est mort et les gens firent allégeance avec son fils, Yazid. Ibn Umar leur dit : soyez pieux envers Allah et ne disparez pas l'unité des musulmans. Alors, il resta quelque temps à Médine et quand il entendit les nouvelles de l'allégeance des gens de différentes régions avec Yazid, alla chez al-Walîd et lui prêta allégeance[27]. Il dit : Si c'est bon, nous sommes contents et si c'est une calamité, nous tolérons[28].

Après quelque temps que les gens rompirent leur allégeance avec Yazid, Abd Allah dit à ses fils :

« Notre allégeance avec Yazid furent celle de Dieu et du Prophète (s). J'entendis du Prophète (s) qu'il dit :
Si quelqu'un rompt son allégeance avec quelqu'un sa place sera dans l'Enfer. Alors, il y aura une séparation entre moi et quiconque rompra son allégeance avec Yazid[29].

À propos de l'allégeance de Abd Allah avec Hajjâj b. Yûsuf ath-Thaqafî, Il est rapporté, afin que les gens ne le voient pas, il alla dans la nuit à la maison d’al-Hajjâj pour faire allégeance. Al-Hajjâj tira son pied sous la couverture et lui dit de faire allégeance avec son pied[30].

Opinion des sunnites

La personnalité d'Ibn Umar dans les pensées religieuses et politiques des sunnites, est assez importante que celle de son père[31].

En plus d'être un compagnon du Prophète (s), il fut le fils du deuxième calife et d’autre part, les sunnites le considèrent comme le narrateur de plusieurs hadiths du Prophète (s), d'Abu Bakr et de Umar[32].

Ibn al-Athîr mentionna certains mérites pour Abd Allah et le considéra parmi les grandes érudits sunnites qui donna, pendant 60 ans après le Prophète (s), des Fatwâ[33].

Au contraire, certains croient qu’Ibn Umar rapporta peu de hadiths du Prophète (s). Par exemple, Ash-Sha'bî déclara que :

durant la seule année où il était avec lui, il n'entendit aucun hadith[34].

En outre, certaines personnes telles que Jâbir b. Abd Allah lui transmit des hadiths[35].

Les sunnites lui rapportèrent également des hadiths sur les vertus de l'Imam Ali (a)[36] sur les différentes récitations du Coran[37], sur l'aumône[38] et sur d'autres sujets.

Culte et piété

Selon les sources sunnites, Abd Allah essaya d'effectuer tous les cultes qu'il vit et entendit du Prophète (s), de sorte qu'il alla aux endroits où le Prophète (s) se reposait et faisait la prière pour y faire la prière[39].

À propos de sa piété, il est dit qu'il ne demanda jamais de l'argent à quelqu'un ; mais, il ne rejeta pas les cadeaux d'aucun gouverneur et accepta tous les cadeaux[40].

Il ne fut pas intéressé par le monde et effectua fréquemment le hadj et donna à l'aumône[41].

Mort

Sâlim (le fils de Abd Allah) cita de son père que la tête de la lance de l'un des partisans d'al-Hajjâj frappa son pied et à la suite de cette blessure devint malade. Un jour, al-Hajjâj alla à sa rencontre. Abd Allah lui dit :

Tu me tua et c’est toi qui ordonna à certaines de se munir d'une arme dans la Mosquée al-Harâm. Il est finalement mort en 73 H, à l'âge de 84 ans.[42]

Ibn Umar fait un testament pour l’enterrer hors de la zone sacrée, mais cela ne fonctionna pas. Al-Hajjâj fit la prière mortuaire sur son corps et ils l'enterra à la zone d’al-Fakhkh, près de la tombe des Muhadjirun[43].

Références

  1. Ibn al-Athîr, Ali b. Muhammad, Usd al-Ghâba fî Ma’rifat as-Sahâba, vol 3, p 236, Beyrouth, Dâr al-Fikr 1409 H
  2. Ibn Hajar al-’Asqalânî, Ahmad b. Ali, al-Isâba fî Tamyîz as-Sahâba, vol 4, p 156, chercheur ‘ dil Ahmad ‘Abd al-Mawjûd et Ali Muhammad Mu’awwad, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-Ilmîyya, édition 1, 1415 H
  3. Ibn ‘Abd al-Birr, Abû ‘Umar Yûsuf b. Abd Allah b. Muhammad, Al-Istî’âb fî Ma’rifat al-As’hâb, vol 3, p 950, chercheur Ali Muhammad al-Bajâwî, Beyrouth, Dâr al-Jîl, édition 1, 1412 H
  4. Ibn ‘Abd al-Birr, Abû ‘Umar Yûsuf b. Abd Allah b. Muhammad, al-Istî’âb fî Ma’rifat al-As’hâb, vol 3, p 951, chercheur Ali Muhammad al-Bajâwî, Beyrouth, Dâr al-Jîl, édition 1, 1412 H
  5. Ibn Qutayba ad-Dînawarî, Abû Muhammad Abd Allah b. Muslim, al-Imâma Wa as-Sîyâsa connu sous le nom de Târikh al-Khulafâ’, vol 1, p 73, chercheur Ali Shîrî, Beyrouth, Dâr al-Awdâ’, édition 1, 1410 H
  6. Ibn Athîr, ‘Azz ad-Dîn Ali b. Abi al-Kirâm, al-Kâmil fi at-Târîkh, vol 4, p 6, Beyrouth, Dâr Sâdir, 1385 H
  7. Ibn Sa’d, At-Tabaqât al-Kubrâ, vol 4, p 133, chercheur Muhammad Abd al-Qâdir ‘Atâ, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-Ilmîyya, édition 1, 1410 H
  8. Ibn Sa’d, at-Tabaqât al-Kubrâ, vol 4, p 133, chercheur Muhammad Abd al-Qâdir ‘Atâ, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-Ilmîyya, édition 1, 1410 H
  9. Nasr b. Muzâhim, al-Waq’at as-Siffîn, p 542, chercheur Harûn Abd as-Salâm Muhammad, Qom, Maktabat ayatollah Mar’ashî Najafî, 1404 H
  10. Ibn al-Athîr, Ali b. Muhammad, Usd al-Ghâba fî Ma’rifat as-Sahâba, vol 3, p 237, Beyrouth, Dâr al-Fikr 1409 H
  11. Ibn Kathîr, Ismâ’îl b. Umar, al-Bidâya wa an-Nihâya, vol 4, p 248, Beyrouth, Dâr al-Fikr, 1407 H
  12. At-Tabarî, Muhammad b. Jarîr, Târîkh al-Umam wa al-Mulûk, vol 4, p 229, chercheur Muhammad Abu al-Fadl Ibrâhîm, Beyrouth, Dâr at-Turâth, édition 2, 1387 H
  13. Ibn al-Athîr, Ali b. Muhammad, Usd al-Ghâba fî Ma’rifat as-Sahâba, vol 3, p 236, Beyrouth, Dâr al-Fikr, 1409 H
  14. Ibn Sa’d, at-Tabaqât al-Kubrâ, vol 4, p 109, chercheur Muhammad Abd al-Qâdir ‘Atâ, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-Ilmîyya, édition 1, 1410 H
  15. Ibn Sa’d, at-Tabaqât al-Kubrâ, vol 4, p 108, chercheur Muhammad Abd al-Qâdir ‘Atâ, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-Ilmîyya, édition 1, 1410 H
  16. Ibn ‘Abd al-Birr, Abû ‘Umar Yûsuf b. ‘Abd Allah b. Muhammad, al-Istî’âb fî Ma’rifat al-As’hâb, vol 3, p 953, chercheur Ali Muhammad al-Bajâwî, Beyrouth, Dâr al-Jîl, édition 1, 1412 H
  17. Ibn Qutayba ad-Dînawarî, Abû Muhammad ‘Abd Allah b. Muslim, al-Imâma Wa as-Sîyâsa connu sous le nom de Târikh al-Khulafâ’, vol 1, p 73, chercheur Ali Shîrî, Beyrouth, Dâr al-Awdâ’, édition 1, 1410 H
  18. Ibn Qutayba ad-Dînawarî, Abû Muhammad Abd Allah b. Muslim, al-Imâma Wa as-Sîyâsa connu sous le nom de Târikh al-Khulafâ’, vol 1, p 73, chercheur Ali Shîrî, Beyrouth, Dâr al-Awdâ’, édition 1, 1410 H
  19. Sharîf ar-Radî, Muhammad b. al-Husayn, Nahj al-Balâgha (li as-Subhî Sâlih), p 521, Qom, Dâr al-Uswa, édition 2, 1422 H
  20. Ibn ‘A’tham al-Kûfî, Muhammad b. Ali, al-Futûh, vol 2, p 529, Beyrouth, Dâr al-Awdâ’, 141 H
  21. Ibn al-Athîr, Ali b. Muhammad, Usd al-Ghâba fî Ma’rifat as-Sahâba, vol 3, p 238, Beyrouth, Dâr al-Fikr, 1409 H
  22. Cheikh as-Sadûq, Muhammad b. Ali, Amâlî Cheikh as-Sadîq, p 153, Téhéran, Kitâbchî, 1376 HS
  23. Ibn ‘A’tham al-Kûfî, Muhammad b. Ali, al-Futûh, vol 2, p 529, Beyrouth, Dâr al-Awdâ’, 141 H
  24. At-Tabarî, Muhammad b. Jarîr, Târîkh al-Umam wa al-Mulûk, , vol 6, p 58, chercheur Muhammad Abu al-Fadl Ibrâhîm, Beyrouth, Dâr at-Turâth, édition 2, 1387 H
  25. Ibn Athîr, ‘Azz ad-Dîn Ali b. Abi al-Kirâm, al-Kâmil fi at-Târîkh, vol 4, p 6, Beyrouth, Dâr Sâdir, 1385 H
  26. At-Tabarî, Muhammad b. Jarîr, Târîkh al-Umam wa al-Mulûk, vol 4, p 229, chercheur Muhammad Abu al-Fadl Ibrâhîm, Beyrouth, Dâr at-Turâth, édition 2, 1387 H
  27. At-Tabarî, Muhammad b. Jarîr, Târîkh al-Umam wa al-Mulûk, vol 5, p 343, chercheur Muhammad Abu al-Fadl Ibrâhîm, Beyrouth, Dâr at-Turâth, édition 2, 1387 H
  28. Ibn Sa’d, at-Tabaqât al-Kubrâ, vol 4, p 164, chercheur Muhammad Abd al-Qâdir ‘Atâ, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-’Ilmîyya, édition 1, 1410 H
  29. Ibn Sa’d, at-Tabaqât al-Kubrâ, vol 4, p 164, chercheur Muhammad Abd al-Qâdir ‘Atâ, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-’Ilmîyya, édition 1, 1410 H
  30. Al-Balâdhurî, Ahmad b. Yahyâ, Ansâb al-Ashrâf, vol 10, p 447, chercheur Suhayl Zakkâr et Riyâd Ziriklî, Beyrouth, Dâr al-Fikr, édition 1, 1417 H
  31. Ja’farîyân, Rasûl, Ta’thîr Mawdi’ Gîrîhâyi Shakhsî dar Fiqh Sîyâsî Ahl Sunnat, p 54, Majjali Kayhân, n 53, 1374 HS
  32. Ibn Hajar al-’Asqalânî, Ahmad b. Ali, Al-Isâba fî Tamyîz as-Sahâba, vol 4, p 156, chercheur ‘ dil Ahmad ‘Abd al-Mawjûd et Ali Muhammad Mu’awwad, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-Ilmîyya, édition 1, 1415 H
  33. Ibn al-Athîr, Ali b. Muhammad, Usd al-Ghâba fî Ma’rifat as-Sahâba, vol 3, p 238, Beyrouth, Dâr al-Fikr, 1409 H
  34. Ibn Sa’d, at-Tabaqât al-Kubrâ, vol 4, p 108, chercheur Muhammad Abd al-Qâdir ‘Atâ, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-’Ilmîyya, édition 1, 1410 H
  35. Ibn al-Athîr, Ali b. Muhammad, Usd al-Ghâba fî Ma’rifat as-Sahâba, vol 3, p 239, Beyrouth, Dâr al-Fikr, 1409 H
  36. Al-Qundûzî al-Hanafî, Sulaymân b. Ibrâhîm, Yanâbî’ al-Mawadda li Dhawi al-Qurbâ, vol 2, p 297, Qom Dâr al-Uswa, édition 2, 1422 H
  37. Ja’farîyân, Rasûl, Afsânihyi Tahrîfi Qur’ân, p 131, traduction de Mahmûd Sharîfî, Téhéran, Amîr Kabîr, édition 1, 1382 H
  38. Tabâtabâ’î, Muhammad Husayn, Tafsîr al-Mîzân, vol 2, p 653, 1364 HS
  39. Ibn al-Athîr, Ali b. Muhammad, Usd al-Ghâba fî Ma’rifat as-Sahâba, vol 3, p 237, Beyrouth, Dâr al-Fikr, 1409 H
  40. Ibn Sa’d, at-Tabaqât al-Kubrâ, vol 4, p 112, chercheur Muhammad Abd al-Qâdir ‘Atâ, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-’Ilmîyya, édition 1, 1410 H
  41. Ibn al-Athîr, Ali b. Muhammad, Usd al-Ghâba fî Ma’rifat as-Sahâba, vol 3, p 237, Beyrouth, Dâr al-Fikr, 1409 H
  42. Ibn Sa’d, at-Tabaqât al-Kubrâ, vol 4, p 168, chercheur Muhammad Abd al-Qâdir ‘Atâ, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-’Ilmîyya, édition 1, 1410 H
  43. Ibn Sa’d, at-Tabaqât al-Kubrâ, vol 4, p 169, chercheur Muhammad Abd al-Qâdir ‘Atâ, Beyrouth, Dâr al-Kutub al-’Ilmîyya, édition 1, 1410 H