Sanctuaire de Sayyida Fatima al-Ma‘sûma (a)
Sanctuaire de Sayyida Fatima al-Ma‘sûma (a) (en arabe : مرقد السيدة فاطمة المعصومة س) ou le haram de Sayyida Ma‘sûma (a) (en arabe : حرم السيدة المعصومة س) est un titre qui comprend les bâtiments, les propriétés dotées (Mawqûfât) et ses organisations administratives.
En l’an 201 h et après un an de l'arrivée de l’Imam ar-Ridâ (a) à la ville de Merv, sa sœur, Sayyida al-Ma‘sûma (a) se dirigea vers Merv. Lorsqu’elle arriva à la ville de Saveh en Iran, elle tomba malade.
Mûsa b. Khazraj al-Ash‘arî qui était l’un des ulémas de Qom, se rendit à Saveh et l'emmena chez lui à Qom. Après quelques jours, la Dame Ma‘sûma (a) décéda dans cette ville et fut enterrée dans un endroit nommé Bâgh Bâbilân (le Jardin de Bâbilân).
Le premier bâtiment sur la tombe de Sayyida al-Ma‘sûma (a) se construisit par Zaynab, la fille de l’Imam al-Jawâd (a). A l’époque des séfévides, ce bâtiment s’agrandit. Tahmasp Ier édifia également le premier Darîh du tombeau de la Dame al-Ma‘sûma.
Aujourd’hui, le sanctuaire de Sayyida Ma‘sûma comprend des grands cours, de nombreux iwans et galeries, des écoles et des mosquées dont la plus importante est la Mosquée de A‘zam et une grande bibliothèque nommée la bibliothèque d’Âstâni créée en 1330 h.
Présentation
Lignage
Fatima al-Ma‘sûma est la fille de l’Imam al-Kâzim (a), la sœur de l’Imam ar-Ridâ (a) et la tente de l’Imam al-Jawâd (a). Sa mère était Najma Khâtûn.[1]
Elle décéda en l’an 201 h mais il n’y a pas d’informations exactes sur la date de sa naissance.
L’Imam al-Kâzim (a) s’arrêta sous l’ordre de Harun abbasside en 179 h. Il était en prison pendant quatre ans et y fut tomba en martyre. Alors, on peut conclure qu’au moment du décès en l’an 201 h, si on suppose qu’elle naquit vers 179 h avant l'arrestation de son père, elle avait au moins 21 ou 22 ans.[2]
Titres
Sayyida Fatima al-Ma‘sûma (a) avait une grande position auprès des croyants et les compagnons des Ahl al-Bayt (a). Des différents titres sont mentionnés pour elle comme : at-Tâhira, al-Hamîda, al-Birra, at-Taqîyya et an-Naqîyya.[3]
Son titre le plus célèbre est al-Ma‘sûma. L’Imam ar-Ridâ (a) l’appela al-Ma‘sûma en disant :
Voyage en Iran
Après un an du départ de l’Imam ar-Ridâ (a) à Merv dans le Khorasan, pour visiter son frère, la Dame al-Ma‘sûma (a) se dirigea vers Khorasan. Quand elle arriva à la ville de Saveh (Iran) tomba malade.
Mûsa b. Khazraj, qui était parmi les savants illustres de Qom, l’amena chez lui à Qom. Selon un autre rapport, c’était elle-même qui demanda à sa servante de la faire aller à Qom.
Sa maladie dans la ville de Qom dura 17 jours et elle y décéda.[6] Aussi, certains croient qu’elle fut empoisonnée.[7]
Lieu de résidence à Qom
Pendant son séjour dans la maison de Mûsa b. Khazraj, Sayyida al-Ma‘sûma s’occupait au culte. Mûsa b. Khazraj consacra cette maison à la mosquée.
A cette époque-là, cette maison était à l'extérieur de la ville de Qom. Aujourd’hui, elle se situe dans le centre de la ville et est connue sous le nom de « Bayt an-Nûr »[Note 1].
Lieu de sépulture
Sayyida al-Ma‘sûma (a) fut enterrée dans le quartier de Bâbilân qui appartenait à Mûsa b. Khazraj. A ce temps-là, ce jardin était en dehors de la ville. Après l'enterrement de Fatima al-Ma‘sûma (a) dans ce jardin, Mûsa b. Khazraj le fit Waqf comme un cimetière public.[8]
Emplacement du sanctuaire
Le jardin de Bâbilân où la Dame al-Ma‘sûma fut enterrée se situait en dehors de la ville de Qom et à côté d'une rivière. Selon les rapports historiques, jusqu’aux septième et huitième siècles de l’hégire, ce jardin était à l'extérieur de la ville.
Le bijoutier et le touriste français, Jean Chardin (1643 - 1713 c), raconte qu’il avait un large mur de brique entre le bâtiment de sanctuaire de Fatima al-Ma‘sûma et le rivère pour protéger le haram contre l’inondation de la rivière. Aujourd'hui aussi, le sanctuaire est situé près de cette rivière.
Historique
Après le décès de Sayyida Ma‘sûma (a) et son enterrement dans le jardin de Bâbilân, le sanctuaire de la Dame al-Ma‘sûma (a) avait subi de nombreux changements au cours de l’histoire.
Progressivement, le haram et ses bâtiments se développèrent. Après le sanctuaire de l’Imam ar-Ridâ (a) à Mechhed, il est le sanctuaire le plus célèbre et le plus glorieux en Iran.
Bâtiment intérieur du sanctuaire
Premier édifice
Après l'enterrement de Sayyida Ma‘sûma (a), les Ash'arites mirent un dais sur sa tombe. En l’an 256 h, Zaynab, la fille de l’Imam al-Jawâd (a) rendit visite le tombeau de Fatima al-Ma‘sûma (a) et construit une coupole sur sa tombe.
Cheikh Abbas Qummî écrit que Zaynab décéda à Qom et fut enterrée dans la mausolée de la Dame Ma‘sûma (a). Umm Muhammad et Maymûna, les soeurs de Zaynab, y furent également enterrées.[9]
Le bâtiment créé par Zaynab était resté au moins jusqu’à 378 h. De cette date à 457 h, on n’a pas d’informations sur la rénovation du haram. Nous savons seulement qu'en l'an 350 h, le gouverneur de Qom, Abu al-Hasan Zayd b. Ahmad b. Bahr Isphahânî, changea la porte de l’entrée du mausolée qui était face au fleuve et la remplaça par une plus grande.
Deuxième édifice
A l’époque des seldjoukides, cheikh at-Tûsî incita al-Mîr Abu al-Fadl al-‘Arâqî, le vizir de Toghrul Beg, à construire un bâtiment pour le mausolée de Sayyida Ma‘sûma (a). Jusqu’avant 447 h, le mausolée avait trois dômes et al-‘Arâqî forma à la place de ces trois dômes, un autre dôme qui était le plus grand ayant de nombreux motifs et décorations.
Ce bâtiment n’avait ni iwans ni minarets et sa construction prit jusqu’à l’an 457 h.
Attaque de Mongol
Au cours de l’attaque de Mongol en Iran, la ville de Qom fut endommagée. Cependant, il semble que le sanctuaire de Sayyida Ma‘sûma (a) fut resté intact. Car, le bâtiment créé par al-‘Arâqî existait jusqu’à l’époque de Séfévides.
Hamdullâh Mustuwfî, l’historien iranien, écrivit à propos de la destruction de Qom mais son rapport ne mentionne pas l’endommagement du haram par Mongol.
Rénovation par Sultan Muhammad
Après, Sultan Muhammad Oldjaïtou rénova les villes de Mechhed et de Qom. Il mit en valeur Qom et ses lieux de Zîyârat en particulier le sanctuaire de la Dame Fatima al-Ma‘sûma (a).
Les carreaux du haram sur lesquels l'image des cavaliers mongols est gravée, sont des œuvres de son époque.
Expansion
Époque des Séfévides
A l’ère des séfévides, le sanctuaire de Sayyida Ma‘sûma (a) atteignit son apogée. A cette époque-là, le bâtiment et le dôme du haram s’élevèrent et furent ornés avec des carreaux. Ils invitent les gens et faisaient leurs frais.
L’édifice que Mîr Abi al-Fadl al-‘Arâqî construisit était resté jusqu’à 925 h. A cette année, Shâh Beygum, la fille de Chah Ismaïl Ier , ordonna à ‘Imâd Beyg de reconstruire le haram sacré.
Elle le rénova dans un style octogonal avec huit murs ornés de carreaux. Elle ordonna également d’y bâtir deux iwans à deux minarets avec une grande cour et quelques pièces.
Pillage du haram par les Afghans
A la fin de l’époque des séfévides, les afghans attaquèrent Iran. Ils assaillirent également la ville de Qom et le haram de la Dame al-Ma‘sûma (a). Lors de la retraite des afghans contre Nader Chah, ils pillèrent tous les biens, les trésors et les précieux ornements du sanctuaire. Même Ashraf Afghan enleva les ors et les bijoux de la tombe de Chah Abbas Ier et les dépouilla.
Des Afcharids aux Qadjars
Il n’y a pas d’informations sur la restauration ou la rénovation du sanctuaire saint de Sayyida Ma‘sûma (a) pendant les gouvernements des Afcharides et des Zands. A l’époque des Qadjars, le haram atteignit de nouveau son apogée et sa gloire. Fath Ali Chah (m 1250 h) couvrit la terre du haram de marbre. Selon l’inscription existante au sanctuaire, la décoration des murs du haram avec les petits miroirs fut commencée de son époque et fut terminée à l’époque de Mohammad Chah (m 1264 h).
Tombe sacrée
En l’an 605 h, Muhammad b. Abî Tâhir (Muhammad b. Tâhir), le carreleur le plus grand de ce temps-là, s’occupait de préparer des carreaux pour la tombe sacrée de Sayyida Ma‘sûma (a). Finalement, il le finit après huit ans et remplaça les carreaux.
Aujourd’hui, ces carreaux sont restés encore et font partie des œuvres les plus anciennes et les plus précieuses du haram de la Dame Fatima al-Ma‘sûma (a).
La longueur du tombeau est de 2.9 mètres et sa largeur et sa hauteur sont de 1.2 mètres.
La longueur du tombeau : 2.9 mètres
La largeur : 1.2 mètres
La hauteur : 1.2 mètres
Darîh
Tahmasp Ier séfévide construisit le premier Darîh sur la tombe sacrée de la Dame Ma‘sûma (a). Ce Darîh fut bâti en 950 h en brique à la longueur de 4.8, la largeur de 4.4 et la hauteur de 2 mètres. La longueur de Darîh : 4.8 mètres La largeur : 4.4 mètres La hauteur : 2 mètres
Au côté nord de Darîh, il y avait une porte de bois pour y entrer. En 1213 h, Fath Ali Chah ordonna de la remplacer avec une autre porte exquise en or.
Dôme
Mîr Abu al-Fadl al-‘Araqî construisit un dôme sur la tombe de Sayyida Ma‘sûma (a) en l’an 457 h. Après cinq siècles et en 925 h, Shâh Beygum, la fille de Chah Ismaïl Ier , l’enleva et construisit un autre dôme qui est resté jusqu’aujourd’hui.
A l’époque des Qadjars, Fath Ali Chah ordonna d’orner le dôme de Sayyida al-Ma‘sûma (a) avec 12 000 briques dorées. La hauteur du dôme à partir du niveau du toit est 16 mètres et à partir du niveau de la terre est 32 mètres avec un diamètre égal à 12 mètres.
La hauteur du dôme à partir du niveau du toit : 16 mètres
La hauteur du dôme à partir du niveau du toit : 32 mètres
Le diamètre : 12 mètres
Minarets
Il y a six minarets dans le haram de la Dame al-Ma‘sûma (a). Le deux premiers minarets se bâtirent au début de l’époque des Séfévides par Shâh Beygum. En l’an 1198 h, Lutf Ali Khân Zand les reconstruisit.
Au-dessus de l’iwan d’or du haram, il y a une inscription contenant des poésies de Hâtif Isphahânî selon laquelle avant la rénovation par Lutf Ali Khân, les deux minarets de Shâh Beygum étaient détruits.
Minarets principaux
En 1218 h, Fath Ali Chah Qadjar dora les minarets principaux du saint haram. En 1286 h pendant le gouvernement de Nasir al-Din Chah, ces minarets furent rénovés et furent embellirent avec des carreaux. Puis en 1299 h, Kâmrân Mirza les orna avec des briques d’or.
La hauteur de ces deux minarets du niveau de la terre est 32.2 mètres et du niveau du toit est 17.4 mètres avec un diamètre égal à 1.5 mètres.
La hauteur du niveau de la terre : 32.2 mètres
La hauteur du niveau du toit : 17.4 mètres
Le diamètre : 1.5 mètres
Minarets d’Atâbakî
En 1303 h, les deux autres minarets se construisirent par Ali Asghar Khân Atâbak aux deux côtés de l’iwan de miroir. Ils sont connus sous le nom des minarets d’Atâbakî.
Leur hauteur est de 42.8 mètres du niveau de la terre de la cour et de 28 mètres du niveau du toit, et leur diamètre est de 3.3 mètres.
La hauteur du niveau de la terre : 42.8 mètres
La hauteur du niveau du toit : 28 mètres
Le diamètre : 3.3 mètres
Minarets courts
Les deux autres minarets nommés les minarets courts se construisirent au-dessus des angles intérieurs de la nouvelle cour. Ils sont octogonaux réguliers et étaient toujours utilisés pour faire Adhân.
La hauteur de ces deux minarets est de 13.50 mètres de la terre de la cour et leur diamètre est de 3 mètres.
La hauteur du niveau de la terre : 13.50 mètres
Le diamètre : 3 mètres
Cours et iwans
Cour de ‘Atîq (ancien cour)
En 925 h et pour la première fois, Shâh Beygum construisit une cour carrée avec trois iwans. Fath Ali Chah changea la cour et les iwans et les transforma en une forme octogonale irrégulière.
Après, des autres iwans furent ajoutés à la cour de ‘Atîq. Aujourd’hui cette cour comprend sept iwans, les quatre au sud et les trois au nord de la cour.
L’iwan le plus célèbre est l’iwan d’or (en persan : Iywân Talâ) qui fut construit par Shâh Beygum. Fath Ali Chah le dora en 1249 h.
Dans cet iwan, les différentes décorations d’art islamique sont utilisées y compris Muqarnas[10], la plâtrage et la décoration avec des petits miroirs (en persan : Âyni Kârî). Il existe également des inscriptions en style de l’écriture de Kûfî, Naskh et Thulth.
L’iwan d’or mesure 9 mètres de long, 6 mètres de large et 14.8 mètres de haut.
La longueur : 9 mètres
La largeur : 6 mètres
la hauteur : 14.8 mètres
Nouvelle cour
La nouvelle cour est parmi les œuvres de Mirza Ali Asghar Khân Atâbak. Sa construction dura huit ans, de 1295 à 1303 h. Cette cour, qui se construisit dans une forme polygonale irrégulière, contient sept iwans. Son iwan le plus connu est l’iwan de miroir (en persant : Iywân yni).
L’iwan de miroir créé par le maître Hasan Mi‘mâr Qummî est considéré comme un des chefs-d'œuvre architecturaux. L’iwan mesure 9 mètres de long, 7.87 mètres de large et 14.8 mètres de haut.
La longueur de l’iwan : 9 mètres
La largeur : 7.87 mètres
La hauteur : 14.8 mètres
Les autres iwans de la nouvelle cour ont également des ornements carreautés, la plâtrage, la décoration avec des petits miroirs, la crénelure et contiennent les inscriptions exquises à différentes écritures.
Galeries et les autres dômes
Autour du sanctuaire, il y a six galeries qui ont souvent un dôme plus petit que le dôme principal du haram. Les trois galeries par les Séfévides, les deux galeries par Qadjars et une autre galerie qui se construisit à l’époque contemporaine.
Ces galeries comprennent des beaux-arts islamiques et des inscriptions à l’écriture des calligraphes illustres comme Muhammad Ridâ Imâmî.
- La galerie est ou la galerie de miroir : elle se situe dans l’est de Darîh de Sayyida Ma‘sûma (a). Ali Asghar Khân Atâbak construisit cette galerie et l’iwan de miroir en 1130 h.
La longueur de la galerie : 23 mètres La largeur : 5.3 mètres La hauteur : 5 mètres
- La galerie ouest : elle comprend trois parties. En 1236 h, Muhammad Taqî Mirza Hisâm as-Saltani, le fils de Fath Ali Chah Qadjar, la construisit comme la mosquée. Celle-ci s’appelle la mosquée de Bâlâ Sar. Il l’édifia au lieu du bâtiment de la maison d’hôtes créée par Chah Tahmasp en 945 h.
- La galerie et le dôme de Chah Safî et le haram des femmes : le tombeau du Chah Safî fut situé dans cette galerie. En 1052 h, Chah Abbas ordonna de construire un dôme sur la tombe de Chah Safî. Elle est placée aujourd’hui à côté de Darîh sacré.
- La galerie et le dôme de Chah Abbas II séfévide : elle fut bâtie en 1077 h sur la tombe de Chah Abbas II. Son dôme a les 16 faces régulières. Dans cette galerie, il y a une inscription contenant la sourate al-Jumu‘a à l’écriture de Muhammad Ridâ Imâmî.
- La galerie et le dôme de Chah Sulaymân : Chah Sulaymân et Chah Sultan Husayn séfévide furent enterrés dans cette galerie. Elle se construisit en 1107 h par Chah Sultan Husayn.
- La galerie et le dôme de Tabâtabâ’î : une galerie en forme de triangle créée par Âqâ Muhammad tabâtabâ’î. Sa construction dura de 1360 à 1370 h.
Écoles et mosquées
Depuis le commencement de construction du haram sacré de Sayyida Fatima al-Ma‘sûma (a), des écoles et des mosquées furent bâties progressivement autour du haram.
L’école de Fiydîyyi et Dâr ash-Shafâ’, qui sont parmi les centres les plus importants des sciences islamiques et chiites, se situent près du sanctuaire de la Dame Ma‘suma (a).
Aussi, la Mosquée A‘zam qu’au début, elle se construisit indépendamment mais de nos jours et après l’agrandissement du haram, elle est placée dans le haram.
Musée du sanctuaire de Sayyida Ma‘sûma (a)
A différentes périodes, de nombreuses personnes, les visiteurs et les rois, offrirent des objets précieux eu sanctuaire.
Il existe dans ce musée des choses rares et chers comme Corans manuscrits, les douze tapis des tombes des rois de Qadjars, une partie du rideau de la kaaba offert par l’imam Khomeyni, les pièces d’or islamiques anciennes et précieuses de l’époque des califes abbassides à nos jours, tapis exquis, les portes en or et en argent etc.
Bibliothèque du haram
En 1330 h, une bibliothèque composée de salles de lecture et d’un bureau se construisit au-dessus des pièces orientales de la cour de ‘Atîq. De plus, les deux salles étaient ajoutées là-bas où les Corans et les autres livres manuscrits se transformèrent.
Voir aussi
- Sanctuaire de l'Imam al-Husayn (a)
- Sanctuaire de l’Imam Ali b. Mûsâ ar-Ridâ (a)
- Sanctuaire de Abbas b. Ali (a)
Note
- ↑ (la maison de la lumière où les pèlerins visitent)
Références
- ↑ At-Tabarî, Dalâ’il al-Imâmat, p 309
- ↑ Faqîhî, Târîkh Madhhabî Qum, p 99, 1378 SH
- ↑ An-Nûrî, Dâr as-Salâm, vol 2, p 170
- ↑ Les ulémas expriment que la récompense du Paradis est pour celui qui rend visite Fatima al-Ma‘sûma avec la connaissance.
- ↑ Al-Majlisî, Zâd al-Ma‘âd, p 547
- ↑ Al-ʿÂmilÎ, Ḥayât al-SiyâsÎyah li al-Imam Ridâ (a), vol 1, p 428.
- ↑ Al-‘ milî, Al-Hayât as-Sîyâsîyya li al-Imâm ar-Ridâ, vol 1, p 428
- ↑ Al-'Allâma al-Majlisî, Bihâr al-Anwâr, vol 48, p 290, 1403 H.
- ↑ Mahallâtî, Rayâhîn ash-Sharî‘a, vol 4, p 316 ; Cheikh Abbas al-Qummî, Muntahâ al- mâl, vol 2, p 432
- ↑ Une sorte des motifs ornementaux de l'architecture islamique