Utilisateur anonyme
« Sourate ar-Rahmân » : différence entre les versions
aucun résumé des modifications
imported>YRahimi (تصحیح متن) |
imported>YRahimi Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 64 : | Ligne 64 : | ||
| La récompense du bien est-elle autre chose que le bien ? | | La récompense du bien est-elle autre chose que le bien ? | ||
|référence= ''Coran'', sourate ar-Rahmân , verset 60 ; Traduction du Coran, Régis Blachère, p. 571}} | |référence= ''Coran'', sourate ar-Rahmân , verset 60 ; Traduction du Coran, Régis Blachère, p. 571}} | ||
Dans les vers précédents, Dieu a promis à ceux qui craignent | Dans les vers précédents, Dieu a promis à ceux qui craignent de comparaître devant leur Dieu, des récompenses des deux cieux avec innombrables bénédictions. Dans ce verset, il est dit que les récompenses de Dieu (aux gens) est en retour de leur bonté, conséquente de leur craint de Dieu; et que donc la récompense du bien n'est autre chose que le bien.<ref>Tabâtabâ’î, v, 19, p. 185</ref> | ||
Basé sur un hadith rapporté de l'[[Imam as-Sâdiq (a)]], ce verset concerne les [[mécréant]]s et les [[croyant]]s qui ont fait de bonnes actions ou de mauvaises actions. Si quelqu'un fait une bonne action, celui qui le reçoit devrait la lui rendre de façon plus importante que ce qu'il a reçu. Parce que si ce qu'on fait en retour est a la même valeur que ce qu'on a reçu, la première action sera évaluée comme meilleure, car c'est elle qui a ouvert la bonté. Par conséquent, ce qu'on fait en retour devrait être plus important qu'on a reçu, pour que la valeur des deux soit véritabelement équivalente <ref> Tabrisî, v. 24, p. 112</ref> | Basé sur un hadith rapporté de l'[[Imam as-Sâdiq (a)]], ce verset concerne les [[mécréant]]s et les [[croyant]]s qui ont fait de bonnes actions ou de mauvaises actions. Si quelqu'un fait une bonne action, celui qui le reçoit devrait la lui rendre de façon plus importante que ce qu'il a reçu. Parce que si ce qu'on fait en retour est a la même valeur que ce qu'on a reçu, la première action sera évaluée comme meilleure, car c'est elle qui a ouvert la bonté. Par conséquent, ce qu'on fait en retour devrait être plus important qu'on a reçu, pour que la valeur des deux soit véritabelement équivalente <ref> Tabrisî, v. 24, p. 112</ref> |