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« Abd al-Muttalib » : différence entre les versions

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== Sa religion et sa foi ==
== Sa religion et sa foi ==


Selon certains rapports, Abd al-Muttalib était [[monothéiste]] et adhérait à la religion de [[Hanîf]] (une religion qui se conforme au fitra ou à la nature humaine, se réfère à la religion propagée par tous les prophètes d'[[Adam (a)]] au [[Prophète Muhammad (s)]]). [[Al-Mas'ûdî]], l’historien de 3ième siècle de l’Hégire, constate qu’il existe certains désaccords sur la religion d’Abd al-Muttalib et un des hypothèses valables est que ni 'Abd al-Muttalib, ni les autres ancêtres du Prophète (s) n’étaient les idolâtres.<ref>Ali b. al-Husayn al-Mas'udî, ''Muruj al-Dhahab wa Ma'âdin al-Jawhar'', vol. II, p 109,  Qom, Dâr al-Hijra, 1409 H.</ref>
Selon certains rapports, Abd al-Muttalib était [[monothéiste]] et adhérait à la religion de [[Hanîf]] (une religion qui se conforme au fitra ou à la nature humaine, se réfère à la religion propagée par tous les prophètes d'[[Adam (a)]] au [[Prophète Muhammad (s)]]). [[Al-Mas'ûdî]], l’historien de [[3ième siècle de l’Hégire]], constate qu’il existe certains désaccords sur la religion d’Abd al-Muttalib et un des hypothèses valables est que ni 'Abd al-Muttalib, ni les autres ancêtres du [[Prophète (s)]] n’étaient les idolâtres.<ref>Ali b. al-Husayn al-Mas'ûdî, ''Murawwij adh-Dhahab wa Ma'âdin al-Jawhar'', vol. II, p 109,  Qom, Dâr al-Hijra, 1409 H.</ref>


[[Al-Chaykh al-Sadûq|Al-Cheikh as-Sadûq]] raconte de [[Imam Ja'far al-Sâdiq (a)|l'Imam Ja'far al-Sâdiq (a)]] que le Prophète (s) dit à [[Imam Ali (a]]) : <br />
[[Cheikh as-Sadûq]] raconte de [[l'Imam Ja'far as-Sâdiq (a)]] que le [[Prophète (s)]] dit à [[Imam Ali (a]]) : <br />
« Abd al-Muttalib n’a jamais pratiqué les jeux (de hasard, d’argent), ni vénéré les idoles et il affirmait qu’il croyait à la religion de son ancêtre, Ibrahim.<ref>Al-Cheikh as-Sadûq, Khisâl, vol I, p. 455, traduit de l’arabe en persan par Jâfarî, Jâmi’aya-yi Mudarrisin, Qom, 1362 HS.</ref>
::« Abd al-Muttalib n’a jamais pratiqué les jeux (de hasard, d’argent), ni vénéré les idoles et il affirmait qu’il croyait à la religion de son ancêtre, Ibrâhîm.<ref>Cheikh as-Sadûq, Khisâl, vol I, p. 455, traduit de l’arabe en persan par Jâ'farî, Jâmi’iyi Mudarrisîn, Qom, 1362 HS.</ref>


== Compagnons de l'éléphant ==
== Compagnons de l'éléphant ==

Version du 24 octobre 2017 à 14:19

Abd al-Muttalib
Grand-père paternel du Prophète Muhammad (s)
Une vieille photo du cimetière Al-Ma'lât avant qu'il soit démoli par les wahhabites en 1343 H (1925 C)
Une vieille photo du cimetière Al-Ma'lât avant qu'il soit démoli par les wahhabites en 1343 H (1925 C)
Présentation
naissance
décès
martyre
Famille
parentsHachim, Salma
enfantHarith, Abd Allah, Al-Zubayr, Abu Talib, Hamza, Muqawwim (Miqwam), 'Abbas, Dirar (Darar), Quthum, Abu Lahab ('Uzza), Ghaydaq.
Successeurs du Prophète (s)
Imam Ali (a) . Imam Hasan (a) . Imam Husayn (a) . Imam Husayn (a) . Imam Sajjad (a) . Imam Baqir (a) . Imam Sadiq (a) . Imam Kazim (a) . Imam Rida (a) . Imam Jawad (a) . Imam Hadi (a) . Imam Hasan Askarî (a) . Imam Mahdi (a)



Abd al-Muttalib b. Hachim b. Abd Manaf (en arabe: عبدالمطّلب بن هاشم بن عبد مناف ) (né 127 avant l'Hégire (500 C) - D 45 avant l’Hégire (579 C)) est le grand-père paternel du Prophète Muhammad (s) et un membre influent de la tribu de Quraysh. Il fut aussi l'un des nobles de La Mecque.

Il nqauit à Yathrib et immigra vers La Mecque à l'âge de sept ans et devint plus tard un des nobles de cette ville. L'événement étonnant de Compagnons des Éléphants (l’attaque d'Abraha) se déroula pendant son règne à La Mecque.

Généalogie

Abd al-Muttalib est de la tribu de Quraysh et il est le fils de Hachim, un de grands nobles de La Mecque à qui la lignée Banu Hachim est reliée. Il descend du Prophète Ibrahim (a). Sa mère, Salma, fille d’'Amr, descend du clan Banu Nadjar Khazradj. Cette famille rejoignit les Compagnons du Prophète (s) après son immigration à Médine.[1]

Tous les Imams des chiites et tous les Talibi (Banu Ali, Banu Ja'far, Banu 'Aqil) descendent d’Abu Talib b. Abd al-Muttalib. Banu 'Abbas, y compris leurs 37 califes abbassides (132 H (656 C) – 750 H (1258 C)) descendent d’Abbas b. Abd al-Muttalib. Les 17 califes abbasides d'Egypte (659 H (1261 C) – 923 H (1518 C)) descendent du 35e calife abbasside en Irak, al-Zahir Billah (622 H (1225 C) – 623 H (1226 C)).[2]

Nom et titres (Kunya)

Le nom d’Abd al-Muttalib fut Shayba et son titre (Kunya) fut Abu al-Hârith.[3] Selon les sources historiques, il fut également appelé avec d'autres noms et titres, tels que : Âmir, Sayyid al-Bat’hâ', Sâqî al-Hajij, Sâqî al-Ghayth, Ghayth al-Warâ fi al-'Âm al-Judub, Abu as-Sâdat al-'Ashara, Abd al-Muttalib, Hâfir Zamzam,[4] Ibrâhîm ath-Thânî et Fayyâd.[5]

En ce qui concerne le titre d’« Abd al-Muttalib », il est dit que quelques années après la mort de Hachim, Muttalib (l'oncle paternel d’Abd Al-Muttalib) l'emmena de Yathrib à La Mecque.[6] Quand les gens virent Muttalib entrer dans la ville avec un enfant, ils crurent qu’il était l'esclave de Muttalib, acheté de Yathrib. D’où le nom qu’il porta le reste de sa vie : Abd al-Muttalib.[7]

Naissance

Au cours d’un de ses voyages à Yathrib, le père d’Abd al-Muttalib, Hachim, se maria avec Salma, fille de 'Amr b. Zayd, du clan Banu Najjar.[8] Avant la naissance de son fils, il se rendit à Gaza, en Palestine aujourd’hui ; il est mort et fut enterré là-bas.[9]

Selon les sources historiques diverses, avant son départ à La Mecque,[10] Abd al-Muttalib vécut avec sa mère à Médine pendant sept ans ou plus.[11]

Positions à La Mecque

Muttalib hérita toutes les positions de son père et fut nommé le chef de Quraysh. Quelque temps plus tard, il mourut au Yémen, dans une région appelée Radman et les positions qu'il avait héritées de son père sont passées à Abd al-Muttalib, son neveu. En raison de sa magnanimité, de sa bonne gestion et de ses stratégies, Abd al-Muttalib devint très vite un noble à La Mecque. Il devint célèbre et Quraysh reconnut également sa noblesse.[12]

Personnalité d’Abd al-Muttalib

Al-Ya'qûbî dit :

Abd al-Muttalib était un noble incomparable de la tribu de Quraysh, car Dieu lui avait accordé la magnanimité. Il ne l'avait jamais accordé à quelqu’un d'autre. Dieu étouffa sa soif du puits de Zamzam (à La Mecque) et Dhu al-Harm (à Tâîf). Quraysh le nomma arbitre pour [les problèmes liés à] leur richesse. Il nourrissait les gens en période de famine, tant qu'il avait même nourri les oiseaux des montagnes.

À cet égard, Abu Talib dit :

"Lorsque les mains des joueurs se mettent à trembler (c'est-à-dire au moment même où les généreux deviennent avares), nous donnerons aux gens autant de nourriture que même les oiseaux mangent de ce qui reste."

Abd al-Muttalib ne vénéra jamais les idoles et croyait à l'unité de Dieu. Il était fidèle à ses promesses et inaugura plusieurs traditions, dont quelques-unes furent mentionnées dans le Coran.[13]

Al-Ya'qûbi cite une narration de Prophète (s) :

"Dieu ressuscitera mon grand-père, Abd al-Muttalib, dans l'apparence des prophètes et la gloire des rois ".[14]

Sa religion et sa foi

Selon certains rapports, Abd al-Muttalib était monothéiste et adhérait à la religion de Hanîf (une religion qui se conforme au fitra ou à la nature humaine, se réfère à la religion propagée par tous les prophètes d'Adam (a) au Prophète Muhammad (s)). Al-Mas'ûdî, l’historien de 3ième siècle de l’Hégire, constate qu’il existe certains désaccords sur la religion d’Abd al-Muttalib et un des hypothèses valables est que ni 'Abd al-Muttalib, ni les autres ancêtres du Prophète (s) n’étaient les idolâtres.[15]

Cheikh as-Sadûq raconte de l'Imam Ja'far as-Sâdiq (a) que le Prophète (s) dit à Imam Ali (a) :

« Abd al-Muttalib n’a jamais pratiqué les jeux (de hasard, d’argent), ni vénéré les idoles et il affirmait qu’il croyait à la religion de son ancêtre, Ibrâhîm.[16]

Compagnons de l'éléphant

Article principal : 'Âm al-Fîl .

Selon les rapports religieux, l'attaque d'Abraha à la Mecque, connue sous le nom de Compagnons de l'éléphant, fut contemporaine d’Abd al-Muttalib.
Abraha s’ouvra la marcha du Yémen vers La Mecque avec une armée d'éléphants afin de détruire la Kaba.[17] L'armée d'Abraha pilla les chameaux de Quraysh. Pour cette raison, une réunion entre Abd al-Muttalib et Abraha fut organisée, au cours de laquelle Abd al-Muttalib ne demanda rien sauf que ses chameaux soient libérés.
Abraha dit : « Je pensais que vous veniez négocier sur la Kaba ».
Abd al-Muttalib répondit:

« Je suis le maître des chameaux, et cette maison (c'est-à-dire la Kaba) a un maître à elle-même ».

Il retourna ensuite a à La Mecque et dit aux gens d'aller dans les montagnes[18] et de prendre leurs affaires avec eux. Le lendemain, une énorme volée d'oiseaux attaqua son armée. Seul, quelques hommes de l’armé d’Abraha survécurent et ils s’enfuirent.[19]

Creuser le puits de Zamzam

Article principal : Zamzam.

Selon les documents historiques sur La Mecque, avant la conquête de Qusay b. Kilab, le grand-père d’Abd al-Muttalib, la tribu Jurhum régnait sur la Mecque. L'oppression de cette tribu contre les autres provoqua un soulèvement. À la fin, la tribu Khuza'a les vainquit. Umar b. Harith, le chef suprême de Jurhum, entra dans la Kaba et cacha tous les bijoux et les cadeaux précieux donnés à la Kaba, dans le puits de Zamzam et il le remplit de terre.

Des années plus tard, Abd al-Muttalib tenta de trouver le puits. Il est dit qu’il reçut en songe l'ordre de creuser le puits. Il fouilla donc Zamzam, trouva les bijoux et les dépensa pour la Kaba. Ainsi, Zamzam se remplit d’eau une autre fois.[20]

Vœu d’Abd al-Muttalib

Il est dit qu’Abd al-Muttalib affronta à la contestation et à l'obstruction de Quraysh après qu’il ait décidé de creuser le puits. Il fit le vœu que si Dieu lui accordait dix fils, il en sacrifierait un à côté de la Kaba. Dieu Tout-Puissant, le bénit avec dix fils. Il tira au hasard le nom d’un d’entre eux, et le nom d’Abd Allah (le père du Prophète Mohammad (s)) fut titré ; mais il sacrifia cent chameaux à sa place.

Ali Dawani estime que cette histoire n'est pas vraie et qu'elle fut composée par les Omeyyades. Il argue que ce rapport comprend une faible chaîne de narrateurs parmi lesquels se trouvent des personnes inconnues. De plus, le fait de sacrifier ses enfants enracine dans les traditions païennes, alors qu’Abd al-Muttalib était monothéiste. Il croit que les Omeyyades fabriquèrent cette histoire afin de réduire la position de l'Imam Ali (a) en endommageant sa noblesse ancestrale.[21]

Traditions Inaugurées par Abd al-Muttalib

Dans son livre, al-Khisal, Al-Chaykh As-Sadûq raconte de l'Imam Ja'far al-Sâdiq (a) que le Prophète (s) dit à l'Imam Ali (a):

"Abd al-Muttaliba a établi cinq traditions à l’époque de Djahiliyya (l'Ère de l'Ignorance) qui devinrent obligatoires par Allah dans l'Islam: Il a interdit aux fils d'épouser les femmes de leur père et Allah dit dans le Coran:

«وَ لا تَنْکِحُوا ما نَکَحَ آباؤُکُمْ مِنَ النِّساءِ»
" Et n'épousez point celle des femmes qu'ont épousées vos pères" - Coran, 4:22[22]

Il a trouvé un trésor (cela pourrait être le trésor caché dans puits de Zamzam) et en a donné un cinquième en tant que charité,[23]
Dieu dit dans le Coran:

«وَ اعْلَمُوا أَنَّما غَنِمْتُمْ مِنْ شَیءٍ فَأَنَّ لِلَّهِ خُمُسَهُ»
"quelque chose que vous preniez, en butin, sachez que le quint [en] appartient à Allah" - Coran, 8:41[24]

Quand il a creusé Zamzam, il l'a nommé Siqâyat al-Hâjj (boisson pour les Hajis) et Dieu dit:

«أَ جَعَلْتُمْ سِقایةَ الْحاجِّ وَ عِمارَةَ الْمَسْجِدِ الْحَرامِ کَمَنْ آمَنَ بِاللَّهِ وَ الْیوْمِ الْآخِرِ»
«Ferez-vous de la charge d'abreuver les Pèlerins et du services (?) de la Mosquée Sacrée [des devoirs] comparables à [ceux de ] celui qui croit en Allah et au Dernier Jour, et mène combat dans le chemin d’Allah ? » - Coran, 9:19[25]

Abd al-Muttalib a déterminé le prix du sang ( diya) d’un homme tué à cent chameaux, et Dieu l'a également appliqué dans l'Islam.

Les Quraychites ne savaient pas combien de fois ils devaient circumambuler la Kaba (faire tawaf). Abd al-Muttalib a fixé le nombre de tawaf à sept et Dieu a appliqué le même nombre de circumambulations dans l'Islam."[26]

Al-Ya'qubi écrit: "Il a établi des traditions que le Prophète (s) a exécutées plus tard et pour lesquelles des versets ont été révélés :

La loyauté aux engagements, déterminer cent chameaux pour le prix du sang d’un homme, l’interdiction du mariage avec les mahârim, l’interdiction d'entrer dans une maison par le toit, l'amputation de la main du voleur, désapprouver la tradition de tuer ses filles, Mubâhala, l’interdiction de boire du vin, l’interdiction de l'adultère, infliger une punition pour la loterie, l'interdiction de circumambuler la Kaba nue, le respect des invités, fournir les dépenses du Hajj par l'argent légitime, le respect des mois du Harâm, éviter l'ostentation et l'hypocrisie."[27]

Décès

Selon les rapport et les narrations, le Prophète (s) avait huit ans lorsqu'Ad al-Muttalib est décédé à l'âge de quatre-vingt-deux ans, soit cent huit ans, ou cent quarante ans.[28]

Il est dit qu'avant sa mort, Abd al-Muttalib rassembla ses filles et leur dit: «Pleurez pour moi et lisez les élégies que vous voudriez lire sur mon cadavre après ma mort, je voudrais les entendre avant de mourir». Elles pleuraient et lisaient chacune leurs élégies.

Umm Ayman cite que le Prophète (s) suivait le cadavre d’Abd al-Muttalib dans ses funérailles et il pleurait, jusqu'à ce qu'on l’entera à côté de son grand-père, Qusay b. Kilab, dans le quartier d'al-Hajun.[29]

Enfants

Abd al-Muttalib avait dix fils: Harith, Abd Allah, Al-Zubayr, Abu Talib, Hamza, Muqawwim (Miqwam), Abbas, Dirar (Darar), Quthum, Abu Lahab ('Uzza), Ghaydaq.[30]

Il avait six filles: Atika, Safiyya, Umama, Barra, Arwa et Umm Hakim (al-Bayda).[31]

A l’exception d’Abbas, d'Abu Talib et Saffiyya, aucuns des oncles et des tantes paternels du Prophète (s) , ne se convertirent en Islam.[32]

Voir aussi

Références

  1. Ibn Athîr, Usd al-Ghâba fî Ma’rifat as-Sahâba (en arabe), p.151, vol. VI, Edition Dâr al-Fîkr, Bayrouth,1409 H,
  2. Âyatî Muhammad Ibrâhîm,Târîkh-i Payâmbar-i Islam, p.154, Téhéran 1353 HS.
  3. Ibn 'Abd al-Birr, al-Istî’âb fî ma’rifat al-As'hâb (en arabe), une Recherche d'Ali Muhammad al-Bajâwî, Dâr al-Jalîl, p. 27, v.I, Beyrouth, 1412 H (1992 C).
  4. 'Allama Majlisi, Bihâr al-Anwâr, vol. XV, p.128
  5. Ya'qûbî, Târikh al-Yâqûbî (en arabe) , p11, Vol.II, Beyrouth, 1379 H
  6. At-Tabarî, Târikh at-Tabarî (en persan), Traduit de l'arabe par Abû al-Qâsim Pâyandeh, vol. III , p. 182, Téhéran, Editions Asâtir, 1375 SH.
  7. Rasûlî Mahallâtî , Sayyid Hâchîm, Zindegânî-yi Muhammad (s) , en persan (une traduction de as-Sîrat al-Nabawiyya), vol I, p. 198, Editions Kitâbchî, Téhéran, 1375 HS,
  8. Al-Balâdhurî, Al-Ansâb al-Ashrâf (en arabe), une recherche de Mumammad Bâqir al-Mahmûdî, p. 65, vol. I, 1974, Bayreuth
  9. Al-Balâdhurî, Al-Ansâb al-Ashrâf (en arabe), une recherche de Mumammad Bâqir al-Mahmûdî, p 65, vol I,1974, Bayreuth
  10. Rasûlî Mahallâtî , Sayyid Hâchîm, Zendegânî-yi Muhammad (s) en persan (une traduction de as-Sîrat al-Nabawiyya), p. 91, vol. I, Editions Kitâbchî, Téhéran, 1375 HS,
  11. Ibn Hichâm, Sîrat an-Nabawîyya , une recherche de Mustafâ as-Saqâ, Dâyirat al-Ma'ârif, p. 137, vol. I, Bayreuth,
  12. Ibn Sa’d, at-Tabaqât al-Kûbrâ , traduit en persan par Mahmûd Mahdawî Dâmghânî, vol 1, p 77, Éditions Farhang wa Andîsheh, Téhrén, 1374 HS,
  13. Al-Ya'qûbî, Târîkh-i Ya’qûbî, traduit de l’arabe en persan par Mahmûd Âyatî, vol.I, p. 363, Téhéran
  14. Al-Ya'qûbî, Târîkh-i Ya’qûbî, traduit de l’arabe en persan par Mahmûd Âyatî, vol. I, p. 363, Téhéran
  15. Ali b. al-Husayn al-Mas'ûdî, Murawwij adh-Dhahab wa Ma'âdin al-Jawhar, vol. II, p 109, Qom, Dâr al-Hijra, 1409 H.
  16. Cheikh as-Sadûq, Khisâl, vol I, p. 455, traduit de l’arabe en persan par Jâ'farî, Jâmi’iyi Mudarrisîn, Qom, 1362 HS.
  17. Abû Hanîfia Ahmad b. Dinwarî, Akhbâr at-Tawâl, traduit de l’arabe en persan par Mahmûd Dâmghânî, Téhéran, Edition Ney, 1371 HS.
  18. At-Tabarî, Tarikh al-Umam wa-l-Muluk, vol. 2, p. 134, Bayreuth, Edition Dâr at-Tarâth, 1387 H.
  19. Ibn Hichâm, Sirat al-Nabawîyya, une recherche de Mustafâ as-Saqâ, Bayreuth, Dâyirat al-Maârif, vol 1, p 137,
  20. Ibn Kathir al-Dimashqi, Al-Bidâya wa an-Nihâya, vol II, p. 244
  21. Dawânî Ali, Târikh-i Islam az Âghâz tâ Hijrat, p.54 Qom, edition Daftar-I Intishârâti Islâmi,1373 HS.
  22. Coran, Sourate an-Nisâ, verset 22, traduction de Blachère, p.108.
  23. Musavî Gharawî Muhammad Hâdi, Târikh-i Tâhqîqî-yi Islam, traduction en pesan par Husayn Ali 'Arabî, vol.I, p. 206, 1327 HS.
  24. Coran, Sourate al-Anfal , verset 41, traduction de Blachère, p. 206.
  25. Coran , Sourate At-Tawba, verset 19, traduction de Blachère, p. 215.
  26. Al-Cheikh as-Sadûq, Khisâl, vol I, p. 455, traduit de l’arabe en persan par Jâfarî, Jâmi’aya-yi Mudarrisin, Qom, 1362 HS.
  27. Musavî Gharawî Muhammad Hâdi, Târikh-i Tâhqîqî-yi Islam, traduit en pesan par Husayn Ali Ârabî, vol.I, p. 207, 1327 HS.
  28. Ibn al-Jawzi, al-Muntazam fi al-Tarikh, vol. II, p. 282, Bayreuth, Dâr ul-Kutub al-‘Ilmiyya, 1412 H
  29. Ibn Athir, Usd al-Ghâbah fi Ma’rifat as-Sahâbah, vol I, p. 123, Bayreuth, Dâr al-Fikr, 1409 H,
  30. Mutahar ibn Tâhi Muqaddasî, Âfarinish wa Târîkh, traduit en persan par Muhammad Riza Shafi’î Kadikanî, Téhéran, Edition Âgah, 1374 HS.
  31. Mutahar ibn Tâhi Muqaddasî, Âfarînish wa Târîkh, traduit en persan par Muhammad Riza Shafi’î Kadikanî, Téhéran, Edition Âgah, 1374 HS.
  32. Mutahar ibn Tâhi Muqaddasî, Âfarinish wa Târîkh, traduit en persan par Muhammad Riza Shafi’î Kadikanî, Téhéran, Edition Âgah, 1374 HS.