Utilisateur:YRahimi/Bac à sable/2

De wikishia

Califat

خلافت

خلافت جانشینی پیامبر اسلام(ص) در امر سیاست، حکومت و دیانت است

Califat est un terme politico-religieux qui se réfère à la succession du Prophète (s) dans la politique, le gouvernement et la religieuse. خلافت در آموزه‌های شیعه،همان ولایت، امامت یا جانشینی پیامبر(ص) در همه امور دنیوی و اخروی است. D’après les chiites, le califat signifie la succession du Prophète (s) dans tous les affaires du monde et de l’au-delà. خلفای رسول الله(ص) در مذهب تشیع، دوازده امام معصوم(ع) از اهل بیت آن حضرتند و تنها تفاوتی که با او دارند، این است که وحی بر آنها نازل نمی‌شود.

Selon les chiites les vrais califes du Prophète (s) sont douze Imams des Ahl al-Bayt du Prophète (s). La seule différence entre eux et le Prophète (s) est que Dieu ne leur a pas envoyé la révélation. پس از رحلت پیامبر اسلام، به جز دوره‌ کوتاه حکومت امام علی(ع) و امام حسن مجتبی (ع) خلافت رسمی، عملاً به غیر معصومان رسید و در حدود سیزده قرن اشخاص و خاندان‌های متعددی در گستره جهان اسلام خود را مصداق خلیفه پیامبر(ص) معرفی کردند. Après le décès du Prophète (s), (à l'exception du califat au temps de l'Imam Ali (a) et de l'Imam al-Hasan al-Mujtabâ (a)), la poste du califat a été usurpée par des personnes non infaillibles. Pendant 13 siècles, de nombreuses personnes et dynasties ont occupé ce poste, et se présentaient comme des successeurs du Prophète (s). مفهوم‌شناسی[ویرایش]

خلافت، واژه‌ای عربی به معنای جانشین ساختن، و واژه خلیفه (جمع آن خلفاء و خلائف) به معنای جانشین، وکیل و قائم‌مقام است.[۱] واژه‌های خلیفه،[۲] خلفاء[۳] و خلائف[۴] در قرآن به همین معنای لغوی به کار رفته است.

lexicologie

Khilâfat (califat) est un mot arabe qui signifie succession, et le mot Khalîfa (calife) signifie successeur ou représentant. les mots Khalîfa, Khulafâ’ et Khalâ’if ont été utilisés dans le Coran, au même sens littéral. بیشترین کاربرد دو واژه خلافت و خلیفه، کاربرد اصطلاحی آنهاست که در تحولات سیاسی جامعه اسلامی پس از وفات پیامبر(ص) به کار گرفته شد؛ اولی به معنای جانشینی در امر حکومت و مطلق امارت و حکومت پس از پیامبر و دومی، در معنای شخص جانشین پیامبر در امر حکومت. L'utilisation la plus courant des deux mots Khilâfat et Khalîfa est leur utilisation idiomatique utilisée dans les événements politiques de la société islamique après le décès du Prophète (s). Le premier signifie la succession au gouvernement et à l'émirat après le décès du Prophète (s), et le second, dans le sens de ce qui est le successeur du Prophète (s) au gouvernement.

کاربرد فراوان اصطلاحات مذکور، این دو واژه را به کلیدی‌ترین مفاهیم فرهنگ سیاسی مسلمانان بدل ساخت و حتی بعدها، گروه‌هایی از مسلمانان در تبیین مشروعیت نظام خلافت، به کاربرد واژه خلیفه در قرآناستناد کردند.[۵] در همین معنا، دو واژه امامت و امام بارها در آثار مؤلفان مسلمان نخستین به کار رفته که با مفهوم امامت از دیدگاه شیعی تفاوت بسیار دارد. L'usage abondant de ces termes, a fait ces deux termes l'un des concepts clés de la culture politique musulmane. Et même plus tard, certains groupes musulmans se sont référés à l’utilisation du terme de califat dans le Coran pour expliquer la légitimité du système de califat. Au même sens, les deux mots imamat et imam sont utilisés plusieurs fois dans les écrits des premiers érudits musulmans qui ont un sens très différent du concept d'imamat du point de vue des chiites. تاریخچه[ویرایش] آغاز شکل‌گیری خلافت، به رویداد سقیفه بنی ساعده بازمی‌گردد. جمعی از صحابه، بلافاصله پس از رحلت پیامبر(ص) اقدام به تعیین جانشین برای وی کردند.

Histographie

La formation de Califat se réfère à l’événement du Saqîfa Banî Sâ’ida au cours de laquelle un groupe des compagnons du Prophète (s) après son décès a choisi le successeur du Prophète (s). خلفای نخستین[ویرایش]

Premières Califes

ابوبکر بن ابی قحافه نوشتار اصلی: ابوبکر بن ابی قحافه نظام خلافت با انتخاب ابوبکر بن ابی قحافه به جانشینی پیامبر عینیت یافت؛ این امر مخالفت‌های متعددی را به‌ ویژه در میان جمعی از صحابه، بنی هاشم و به‌ویژهاهل بیت پیامبر برانگیخت، ولی سرانجام با به‌کارگیری شیوه‌های مختلف، مهمترین مخالفانش را خاموش ساخت[۶] و سپس خلیفه رسول‌اللّه خوانده شد.[۷] ابوبکر اولین خلیفه از خلفای راشدین است که نحوه انتخاب او بعدها مبنای نظریه اهل حلّ و عقد در فقه سیاسی اهل سنت شد.[۸]

Abu BAkr ibn Abi Quhafa

Le système du Califat à été fondé par le choix de Abu Bakr bin Abi Quhafa comme le premier calife des Musulmans. Cela a suscité de nombreuses objections, parmi un certain nombre de compagnons, Banu Hachem et notamment les Ahl al-Bayt (a) du Prophète (s). Mais finalement, utilisant les différentes méthodes, il éteignit ses principaux adversaires et ensuit il s’est présenté comme Khalifat Rasûl Allah. Abu Bakr est le premier calife des califes Rashidûn dont le choix est ensuite devenu la base de la théorie de Ahl Hall va al-’Aqd dans la jurisprudence politique sunnite.

Umar ibn al-Khattab

عمر بن خطاب نوشتار اصلی: عمر بن خطاب ابوبکر اندکی پیش از وفاتش (سال ۱۳ق)، عمر بن خطاب را به جانشینی خود منصوب و مسلمانان را به بیعت با وی ملزم ساخت.[۹] گفته شده است که وی علت اقدام خود را جلوگیری از بروز فتنه عنوان کرد.[۱۰] عمر بن خطاب را به تبعیت از عنوان خلیفگی ابوبکر، خلیفه خلیفه رسول‌اللّه نامیدند اما او ترجیح داد که به جای این عبارت طولانی، امیرالمؤمنین خطابش کنند.[۱۱]

Abu Bakr un peut avant de sa mort (13 H) à nommé Umar ibn al-Khattab comme son successeur et à obligé les musulmans à lui faire l'allégenace. On dit que, il l'a fait pour déjouer le complot (fitna) au sein de la communauté islamique.

Puisque Umar ibn al-Khattab était le successeur de Abu Bakr, il s'appelait "Khalifat Khalifat Rasûl Allah" (en arabe: خليفة خليفة رسول الله, successeur du successeur du Prophète (s)), mais il préférait s'appeler "Amîr al-Mu'minin". (Prince des croyants), à sa place.

این لقب بعدها تا پایان عصر خلافت، رایج‌ترین و مهمترین لقب خلفا بود. عمر در مقام خلیفه، حدود اختیاراتش را همسان با اختیارات پیامبر(ص) می‌دانست.[۱۲] برخی سیاست‌های حکومتی وی در نزدیک‌ساختن ساختار خلافت به ساختار حکومتی با مختصات زمامداری‌های رایج آن زمان، تأثیراتی جدّی به جاگذاشت؛ از جمله ترویج برتری عرب بر دیگر اقوام (اصطلاحاً عجم) که در تعارض آشکار با سیاست ضدنژادی پیامبر اسلام بود، امتیازبندی مسلمانان در تقسیم بیت‌المال که آن را مال‌اللّه می‌نامید و لغو شیوه تقسیم غنایم به صورت مساوی.[۱۳]

Le mot de Amîr al-Mu'minîne, est resté comme le titre le plus courant et le plus important pour les califes jusqu'à la fin de califat des califes. Il considérait que son attribution était égale au Prophète (s). Ceratains politiques du gouvernement de Umar, telles que la propagation de l'opinion selon laquelle les Arabes sont supérieurs aux autres groupes ethniques ('Ajam), la discrimination entre musulmans dans leurs tranches du Trésor public et la division inégale des butins de guerre, ont eu les graves consequences.

Uthman bin Affan

عثمان بن عفان عمر، تعیین جانشین خود را به شورایی شش نفره از صحابه پیامبر(ص) واگذار کرد. عثمان بن عفان در سال ۲۳ق به عنوان سومین خلیفه بر مسند قدرت نشست. شرط مهم بیعت شورای شش نفره با او، علاوه بر عمل به کتاب خدا و سنّت پیامبر، تبعیت از دو خلیفه نخست (سیره شیخین) بود؛ امری که علی بن ابی طالب از پذیرش آن امتناع کرد[۱۴]. اما بنابر منابع تاریخی، عثمان چندان به شروط مذکور پایبند نماند؛ از جمله گماشتن برخی از رانده‌شدگان از سوی پیامبر(ص) به سمت‌های عالی حکومتی، مسلط ساختن بنی امیه بر امور حکومتی و بخشش‌های بدون ضابطه از بیت‌المال به برخی افراد و نیز اقوام اموی‌اش.[۱۵]

Uthman bin Affan est arrivé au pouvoir en l'an 23 H par le conseil des six compagnons du Prophète (s), à la condition d'avoir agi conformément au Coran et à la tradition (sunna) du prophète (s) et de suivre les deux califes précédents. D'abord Ils ont choisi l'Imam Ali (s) avec les mêmes conditions, mais l'Imam (s) a refusé d'accepter cette dernière condition.

Mais, selon les sources historiques, Uthman n'a pas respecté les conditions ci-dessus, par exemple, au cours de son califat, il a nommé certaines personnes expulsées de la communauté islamique par le Prophète (s) aux postes gouvernementaux importants comme la tribu des Omeyyades et il a dépensé le Trésor Public comme il souhaitait sans légalité.

Ali b. Abi Talib (a)

بیعت با علی(ع) در مسجد با حضور مردم و با شرط عمل به کتاب خدا و سنّت پیامبر انجام شد.

Les musulmans ont fait allégeance à l'Imam Ali b. Abi Talib (a) dans la mosquée à la condition qu'il agisse conformément au Coran et à la tradition (sunna) du prophète (s).

او اخذ بیعت اجباری را روا ندانست و بر آن بود که بیعت بر مبنای اختیار است و خود را موظف به دعوت می‌دانست، نه اجبار[۱۷] او تعلیم دین را یکی از وظایف اصلی حاکم قلمداد می‌کرد.[۱۸] و بر آن بود که پرچم ایمان را در میان مردم استوار کند و آنان را بر حدود حلال و حرام آگاه سازد.[۱۹]

L'Imam Ali (a) n'a forcé personne à lui faire l'allégeance et a déclaré que toute personne était libre de décider à cet égard. Il a considédé l'enseignement de la religion comme un grande devoir du Calife, afin que les gens sachent les commandements de Dieu et puissent faire la distinction entre ce qui est légal (Halal) et ce qui est illégal (Haram).

Hasan b. Ali (a)

شهادت امام علی در سال ۴۰ق، اوضاع بحرانی خلافت را پیچیده‌تر کرد. با وجود اقبال مردم به خلافت حسن بن علی پس از پدرش، اما امام علی مردم را در انتخاب فرزندش مخیر کرده بود. امام حسن(ع) در یکی از خطبه‌هایش، ضمن تفکیک آشکار خلافت از ملوکیت، بر لزوم تطابق عمل خلیفه با مبنای یاد شده همراه با دوری از ستم تأکید کرد.[۲۰]

Le martyre de l'Imam Ali (a) en l'an 40 H a compliqué la situation du califat. Malgré le désir des gens au califat de Hasan b. Ali (a) après son père, mais l'Imam Ali (a) n'avait pas obligé les personnes pour choisir son fils.

L'Imam al-Hasan al-Mujtabâ (a) dans un de ses sermons, en distinguant clairement le califat du système gouvernementale, a souligné la nécessité d'accord des actions du calife avec cette condiotion mentionnée ci-dessus, en évitant l'oppression.

دستگاه فرمانروایی معاویة بن ابی سفیان در شام با دستگاه خلافت پهلو می‌زد. این هم‌عرضی تا زمان خلافت علی(ع) با هیچ‌گونه مخالفتی روبه‌رو نشده بود، اما امام علی از همان آغاز وی را عزل کرد. Muawiya bin Abu Sufyan qui a nommé comme gouverneur de la Syrie par le deuxième calife, tentait sérieusement de transformer le califat en sultanat. Mais, l'Imam Ali (a) l'a évoqué de son poste.

al-Hasan (a) et de nombreux musulmans en étaient parfaitement conscients. C'est pourquoi la priorité (a) de l'imam al-Hasan, sous sa direction, était de résister à de telles tentatives.

امام حسن دست به تقابل با معاویه زد، ولی سرانجام راهی جز صلح با معاویه نیافت. بنابراین پس از شش ماه خلافت، کناره‌گیری و با معاویه صلح کرد.

L'Imam al-Hasan (a) s'est opposé à Muawiya, mais, finalement, il n'a pas vu d'autre solution que faire la paix avec Muawiya et a démissionné du Califat. . بنابه روایت بلاذری،[۲۲] یکی از شروط امام حسن در صلحنامه، خودداری معاویه از تعیین جانشین و واگذاری تعیین خلیفه پس از خود به مسلمانان بوده است. گفته شده است که امام با پیشنهاد معاویه مبنی بر احراز مقام خلافت پس از معاویه مخالفت کرد.[۲۳]

Selon le rapport d'al-Balâdurî, l'un des conditions de la paix de l'Imam al-Hasan (a) avec Muawiya était

امام حسن آخرین خلیفه از اولین دوره خلافت اسلامی و از سلسله خلفایی بود که بعدها با عنوان راشدین، هویتی کاریزماتیک (فرهمند) یافتند. این نگرش که تصاویری روشن از آن را در آثار مؤلفان سنّی‌مذهب قرون مختلف به‌وفور می‌توان یافت،[۲۴] حاصلِ برخورداری از ویژگی‌هایی چون تعلق به حلقه صحابه ممتاز پیامبر(ص)، خویشاوندی نَسَبی یا سببی با پیامبر، فضل تقدم در اسلام و یاری پیامبر و آرمان الهی‌اش، و بالاخره سیره عملی (در این مورد، خلیفه سوم را باید مستثنا کرد) بود که نه‌تنها تفاوت معناداری میان آنان و خلفای بعدی پدید آورد، بلکه به شاخصی برای ارزیابی عملکرد صاحبان قدرت در جامعه اسلامی بدل شد. نظریاتی چون آرای اهل حل و عقد و اهل استخلاف، اصل شورا،[۲۵] قریشی بودن خلیفه، نقش بیعت به عنوان وسیله‌ای برای اثبات خلافت یا اظهار وفاداری و موافقت[۲۶]، ضرورت اطاعت از حاکم با هدف حفظ جماعت امت و نهی از خروج،[۲۷]، امکان یا عدم امکان خلع خلیفه،[۲۸]، جهاد با بُغات (جمع باغی) و نظایر آن، همگی برگرفته از نحوه انتصاب خلفای راشدین و عملکردشان بود که به عنوان الگوی حکومتی مطلوب به آنها استناد می‌شد. امویان[ویرایش] نوشتار اصلی: امویان تشکیل خلافت اموی در سال ۴۱ق به دست معاویة بن ابی سفیان، خلافت اسلامی را با بحران مشروعیت مواجه ساخت. معاویه خلیفه‌ای بود که نه مسلمانان او را در هیئت و مسلک خلفای پیشین می‌دیدند و نه حتی شهرتی نیک داشت. خود او نیز تصریح کرد که خلافت را نه با رضایت بلکه با زور به دست آورده[۲۹] و خود را مَلِک و نخستین پادشاه نامید و از زوال خلافت خبر داد.[۳۰] وی حکومت را امتیازی الهی برای خاندان خویش محسوب کرد.[۳۱] مورد اخیر به نگرش غالبی تبدیل شد که علاوه بر اینکه موروثی‌شدن خلافت در میان امویان را در پی داشت، مفهوم خلافت اسلامی را با دستاویزی مذهبی به سلطنت اسلامی مبدل ساخت. این امر بعدها با حدیثی منسوب به پیامبر، با مضمون «خلافت سی سال است و پس از آن پادشاهی است»،[۳۲] تأکید و حتی به نوعی تأیید شد. وقتی که یزید در سال ۶۰ق به خلافت رسید، علاوه بر زیر پا نهادن ارزش‌های اسلامی، تمام مخالفت‌ها را با خشونت سرکوب کرد. برخورد با امام حسین (ع) و واقعه حرهاز این جمله است.[۳۳] از آن پس، مشروعیت خلافت با پایبندی‌ به حق سنجیده نمی‌شد، بلکه خود او معیار حق و باطل بود.[۳۴] برپایی قیام‌های مخالفان نشان می‌دهد که این نوع تلقی از خلیفه‌گری، اگرچه مسلط، اما همه‌گیر نبوده و به جز خاندان پیامبر که موضع خود را در قیام کربلا نشان دادند، گروه‌هایی از مسلمانان، به ویژه اهالی حرمین (مکه، مدینه) و عراق هم آن را برتابیدند.[۳۵] یکی دیگر از داعیه‌داران خلافت، عبدالله بن زبیر بود که پس از مرگ یزید در سال ۶۴ق، بر پایه «عمل به کتاب خدا، سنت رسول و سیره خلفای صالح»، مردم را به بیعتبا خویش فراخواند.[۳۶] این فراخوان که ادعا می‌کرد هدف اصلی‌اش بازگشت به شکل اولیه خلافت است، با کناره‌گیری معاویة بن یزید از خلافت و اوضاع نابسامان امویان، به‌تدریج ابعاد گسترده‌ای یافت و از محدوده حجاز (محل آغاز قیام ابن زبیر) فراتر رفت. خلافت مروانیان از سال ۶۴ق آغاز شد و با ده خلیفه تا سال ۱۳۲ق تداوم یافت. مروانیان، رویکرد سلطنت‌‌مآبانه در خلافت را تداوم بخشیدند و در ارتقای بیش از پیش مقام معنوی خلیفه کوشیدند و معنای قدسی برای آن ایجاد کردند.[۳۷] سیطره سیاسی و تبلیغات گسترده امویان سبب شد تا مفهوم غالب خلافت و خلیفه در اذهان عمومی مسلمانان، حتی پس از روزگار امویان، همان مفهوم ترویجی امویان باشد. با این حال، به دلیل رفتار ظالمانه آنها با خاندان پیامبر، چهره حکومت آنها مخدوش و غیر قابل ترمیم باقی ماند.[۳۸] از همین رو بسیاری از مؤلفان مسلمان در طول تاریخ، از کاربرد واژه امیرالمؤمنین یا حتی خلیفه برای امویان خودداری کرده‌اند. حتی وجود دو خلیفه اصلاح‌گر اموی، عمر بن عبدالعزیز و یزید بن ولید، یا تلاش‌های برخی مؤلفان برای توجیه عملکرد امویان[۳۹]، در تطهیر چهره منفی آنان تأثیر چندانی نداشته است. عباسیان[ویرایش] نوشتار اصلی: عباسیان سومین دوران خلافت اسلامی، دوره عباسیان است که بیش از پنج قرن (۱۳۲ـ۶۵۶ق) با ۳۷ خلیفه، بر قلمرو جهان اسلام حاکم بود. شکل‌گیری این خلافت با شعار «الرضا من آل محمد (ص)» بود و بیعت با سفاح بر مبنای احقاق حقوق اهل بیت و بازگشت میراث الهی (جانشینی) پیامبر (ص) به خاندانش صورت گرفت.[۴۰] وراثت در ساختار خلافت عباسیان، رکن لازم‌الاجرا به شمار می‌آمد. بیعت با خلیفه، در این دوره با آداب و رسومی خاص همراه بود.[۴۱] آثار مربوط به تشریفات و آداب و رسوم دربار خلفا، از همان قرون دوم و سوم نگاشته شد و تجملات و تشریفات در همه ابعاد در زمره شئون لازم برای خلیفه و دستگاه خلافت[۴۲] معرفی شد. نسل‌های اولیه خلفای عباسی شأن مذهبی ـ سیاسی مقتدرانه‌ای داشتند و اقتدار دینی آنان اساس قدرت سیاسیشان محسوب می‌شد[۴۳] اما اقتدار سیاسی خلیفه به‌تدریج افول کرد؛ تا آنجا که عزل و نصب خلفا و تداوم حکومت و حتی مرگ و زندگی‌شان به طور مطلق در اختیار نظامیان ترک، آل بویه و سلجوقیان قرار گرفت.[۴۴] خلافت عباسی در ۶۵۶ق در پی تهاجم هلاکوخان مغول به بغداد سرنگون شد. این سقوط از یک سو به سرخوردگی کسانی انجامید که با چشم تقدس به این خلافت می‌نگریستند،[۴۵] و از سوی دیگر، برخی از اهل سنّت را در این سو و آن سوی جهان اسلام، ترغیب به ادعای خلافت کرد. فاطمیان[ویرایش] نوشتار اصلی: فاطمیان فاطمیان ۲۷۰ سال (۲۹۷ـ۵۶۷ق) با چهارده خلیفه، بر مصر، مغرب و بیشتر نواحی شام حکم راندند و در برخی ادوار، دامنه نفوذشان تا دیار بکر، دیار ربیعه، حجاز و یمنگسترش یافت.[۴۶] نظام فکری خلافت فاطمی دارای ساختار تشکیلاتی قوی و پیچیده‌ای بود که نه فقط مبتنی بر حفظ خلافت بلکه در پی ترویج رویکرد مذهبی آن (تشیع اسماعیلی) در سراسر جهان اسلام بود. بر همین اساس، خلیفه فاطمی علاوه بر خلیفه، امام بر حق (امام به معنای خاص اسماعیلی) بود و ‌شأن معنوی این امام یا خلیفه به مراتب بیش از خلیفه عباسی معرفی می‌شد.[۴۷] علاوه بر لقب امیرالمؤمنین و القابی که مخصوص هر خلیفه بود، عناوینی چون ولی خدا، موقف نبوی، حجت خدا، خلیفه خدا، برهان خدا، نایب و وارث نبوت به طور رسمی درباره آنان به کار می‌رفت.[۴۸] پس از مرگ مستنصر (۴۸۷)، اختلاف بر سر جانشینی وی، دربار فاطمی را به دو گروه مستعلویان و نزاریان تقسیم کرد و (در کنار عوامل دیگر) به انحطاط فاطمیان انجامید؛ به طوری که آخرین خلیفه فاطمی، العاضد، در سیطره کامل صلاح‌الدین ایوبی، سلطان سنّی‌مذهب طرفدار عباسیان قرار گرفت و مرگ او در سال ۵۶۷ق نقطه پایان خلافت فاطمیان بود.[۴۹] حکومت عثمانی[ویرایش] حکومت عثمانی که با در اختیار داشتن قلمروی وسیعی از استپ‌های روسیه تا دریای سیاه، بخش‌هایی از اروپا و آفریقا، عراق، حجاز و شام، حکومت مقتدر تازه‌نفسی به شمار می‌رفت، در سال ۹۲۳ق پس از تصرف مصر، رسماً عنوان خلافت یافت. سلطان عثمانی مشروعیت مذهبی را جز از طریق اتصال به خلیفه عباسی مصر میسر نمی‌دید[۵۰] و حتی سلیم اول، مبدع نظام خلافت عثمانی نیز پیش از ادعای خلافت می‌کوشید تا به اعتبار خلیفه عباسی متوسل شود.[۵۱] گسترش قلمرو عثمانی که حاصل فتوحات سلیم در ایران، آسیای صغیر، حجاز، شام و شمال افریقا بود، به‌تدریج عثمانیان را به تلاش برای کسب فرمانروایی بر جهان اسلام سوق داد. پس از جنگ چالدران در سال ۹۲۰ق که به پیروزی سلیم انجامید، او را «خلیفه خدا و پیامبر» خطاب کردند.[۵۲] خلافت عثمانی هیچگاه پایگاه معنوی درخور توجهی نداشت. غیرعرب و غیرقریشی بودن این خلفا و عدم انتسابشان به خاندان پیامبر، بی‌شک در بروز این وضع سهم بسیاری داشت، چنانکه در همان نخستین قرن اعلام خلافت عثمانی، یک دولتمرد برجسته عثمانی با تألیف رساله‌ای تلاش کرد اطلاق عنوان خلیفه و امام به سلاطین غیرقریشی (به‌طور مشخص، سلاطین عثمانی) را مشروعیت بخشد.[۵۳] این امر گویای زیر سؤال بودن مشروعیت خلیفه عثمانی حتی در قلمرو اصلی است.[۵۴] در ۱۳۰۱ش/ ۱۹۲۲ با رأی نمایندگان مجمع ملی آنکارا، خلافت عثمانی به مقامی روحانی محدود و از سلطنت تفکیک شد. یک سال بعد، با لغو نظام سلطنت، جمهوریترکیه شکل گرفت که با واکنش منفی خلافت‌گرایان مسلمان مواجه شد و حتی شخصیت‌هایی چون سید امیرعلی هندی از شیعیان امامی و آقاخان (رهبر اسماعیلیه) را چنان نگران ساخت که به نمایندگی از جنبش خلافت به ترکیه سفر کردند و در دیدار با رئیس جمهور و نخست‌وزیر ترکیه، خواستار تجدیدنظر در این تصمیم شدند. این اقدامات نتیجه‌ای نداشت و در ۱۳۰۳ش/ ۱۹۲۴ م، ترکان به الغای همیشگی نظام خلافت رأی دادند. رویکردهای جدید به مسئله خلافت[ویرایش] در قرن نوزدهم و بیستم، عالمان مسلمان نظرات متفاوتی درباره خلافت بیان کرده‌اند: عبدالرحمن کواکبی(متوفی ۱۳۲۰ق): اندیشمندی مصری بود که اگرچه با نگرشی قومی خواهان بازگشت خلافت به اعراب بود، جهت‌گیری کلی او نه جانبداری از نظام خلافت بلکه جانبداری از حکومتی بود که هاله تقدس بر گرد آن نباشد و به قدرت مطلقه منتهی نگردد، چنانکه محدوده قدرت خلیفه را تا حد رهبری دینی کاهش داد.[۵۵] سید جمال الدین اسدآبادی(۱۲۵۴ـ۱۳۱۴ق): نگرش مثبتی به خلافت و به طور مشخص خلافت عثمانی داشت.[۵۶] این طرز تلقی، با انگیزه‌ها و اهداف غایی او یعنی اتحاد جهان اسلام، رهایی مسلمانان از عقب‌ماندگی و جهل، و بازیابی قوت و شوکت مسلمانان در برابر استعمار، ارتباطی مستقیم داشت. او معتقد به احیای اقتدار خلافت (به عنوان محور اتحاد جهان اسلام)، نه به شکل سنّتی آن بلکه در چهارچوبی جدید (توجه به حقوق شهروندی و حقوق متقابل حکومت و مردم) بود. این رویکرد مثبت و امیدوارانه وی در اواخر عمرش و در پی اقدامات سوء دستگاه خلافت استانبول و شخص عبدالحمید دوم (خلیفه وقت) به یأس بدل شد.[۵۷] محمد رشیدرضا (۱۲۸۲ـ۱۳۵۴ق/ ۱۸۶۵ـ۱۹۳۵م): از مدافعان سرسخت نظام خلافت که موضع‌گیری نخستینش بر حمایت از خلافت عثمانی تمرکز داشت.[۵۸] این موضع‌گیری، در پی تفکیک خلافت عثمانی از سلطنت در ۱۳۰۱ش/ ۱۹۲۲ و گسترش ناسیونالیسم عربی، به ضدیت با خلافت عثمانی (که وی آن را مایه فساد و انحراف نظام خلافت معرفی کرد) تبدیل شد و رشیدرضا به شیوه کواکبی به طرح مسئله خلافت عربی پرداخت.[۵۹] عبدالرزاق احمد سَنْهوری (۱۳۱۳ـ۱۳۹۱ق/ ۱۸۹۵ـ۱۹۷۱ م): در تلاش برای تلفیق نظام خلافت و استقلال دولت‌های مسلمان، طرحی داد که در آن بر تشکیل سازمان‌های بین‌المللی اسلامی تأکید شده بود. این سازمان‌ها با ایجاد مناسبات فرهنگی میان ملل مسلمان و ایجاد وحدت اعتقادی ـ فرهنگی میان آنان جایگزین نهاد خلافت می‌شد. در این طرح، خلیفه رئیس افتخاری تمامی دولت‌های اسلامی و صرفآ دارای اختیارات مذهبی و فاقد اختیارات سیاسی بود.[۶۰] ابوالکلام آزاد (۱۳۰۵ـ۱۳۷۷ق / ۱۸۸۸ـ ۱۹۵۸ م): با تبیین نظام خلافت به عنوان حکومتی با مبنای قرآنی، ضمن دفاع قاطعانه از اصل نظام خلافت، بر تعیین خلیفه از طریق آرای اهل حل و عقد تأکید ورزیده است.[۶۱] او پس از الغای خلافت عثمانی، به‌اندیشه‌های ملی‌گرایانه گرایش یافت و حتی سیاست‌های غیرمذهبی آتاتورک را توجیه کرد.[۶۲] ابوالاعلی مودودی (۱۳۲۱ـ۱۳۹۹ق/ ۱۹۰۳ـ۱۹۷۹ م): بر مبنای نظریه آرمانی خلافت به دفاع از این نظام پرداخت اما او نه فقط درباره قریش بلکه درباره هیچ گروه یا قومی قائل به انحصار خلافت نبود و قدرت خلیفه را هم محدود و مشروط می‌دانست. او از جمله خلافت‌گرایانی بود که ضمن تأکید بر تقسیم و استقلال قوا در ساختار سیاسی، ولایت خلیفه را نوعی وکالت از جانب نمایندگان ملت (در واقع ملت) می‌دانست و به مردم‌سالاری[۶۳] گرایش داشت.[۶۴] دیگران: خلافت آرمانی از دیدگاه مالک بن نبی، اندیشمند جزایری، حکومت مردم‌سالارانه خلافت تا پیش از جنگ صِفّین بود و او به بازگشت مسلمانان به مردم‌سالاری اصیل اسلامی (با تأکید بر ارزش‌هایی چون آزادی بیان و اندیشه، و رهایی از استبداد) امید داشت.[۶۵] با این حال، در آرای او از احیای مجدد نظام خلافت خبری نیست. این امر در آرای حسن البنّا (۱۳۲۴ـ۱۳۶۸/ ۱۹۰۶ـ۱۹۴۹)، رهبر اخوان‌المسلمین مصر، به گونه‌ای متفاوت بروز کرده است. بنّا اگرچه خلافت را یکی از ارکان دین اسلام و مایه وحدت اسلامی تلقی می‌کرد، بر احیای نقش دینی نهاد خلافت تأکید می‌ورزید.[۶۶] احیای خلافت اسلامی[ویرایش] پس از الغای خلافت عثمانی، برخی از افراد و جریان‌ها درصدد برپایی مجدد خلافت اسلامی برآمدند. «حافظی حضور» در بنگلادش با پایه‌گذاری جنبشی مشابه جنبش خلافت و همنام آن، همراه با تحرکات سیاسی ـ مذهبی گسترده، درصدد احیای خلافت برآمد. حضور فعال این جنبش در صحنه سیاسی بنگلادش در دهه ۱۳۶۰ه.ش/ ۱۹۸۰م در قالب اتحادیه‌ای به نام «مجلس عمل مشترک» که متشکل از چند گروه اسلامی بود، به منازعات داخلی گسترده میان حافظی حضور و حامیان او با دولت وقت بنگلادش انجامید و بازداشت فعالان این جنبش، حبس خانگی حافظی حضور و محدودیت فعالیت‌های این جنبش را در پی داشت.[۶۷] تحرک دیگر، اعلام تشکیل دولت خلافت به عنوان یگانه دولت مشروع اسلامی به دست جمال‌الدین بن رشید کابلان (خوجا اوغلو)، عالم دینی اهل ترکیه، در دهه ۱۳۷۰ه.ش/۱۹۹۰م بود. این دولت بر اساس مبانی فقهی کهن اهل سنّت درباره خلافت، توأم با مقتضیات دنیای جدید شکل گرفته بود.[۶۸] طرح کابلان تقریباً همان طرح سنهوری بود، با این تفاوت که او برخلاف سنهوری، خلیفه را نه مقامی تشریفاتی بلکه بالاترین مقام اجرایی جهان اسلام می‌دانست و بر احیای سنّت بیعت و مظاهر اسلامی چون تاریخ هجری (به‌جای تاریخ میلادی) و اجرای احکام شرعی تأکید می‌ورزید. ضمن آنکه بر ابقای مرکزیت معنوی خلافت در استانبول پای می‌فشرد.[۶۹] گروه داعش، از تازه‌ترین داعیان ایجاد خلافت اسلامی است.

Ramadan

Pratiques et les invocations de deuxième jour de mois de Ramadan
Prière Faire 4 prières en deux rak'at, en récitan dans chaqu rak'at après la sourate al-Hamd, la sourate al-Qadr 20 fois
Invocation de jour
اللَّهُمَّ رَبَّ شَهْرِ رَمَضَانَ مُنَزِّلَ الْقُرْآنِ هَذَا شَهْرُ رَمَضَانَ الَّذِي أَنْزَلْتَ فِيهِ الْقُرْآنَ...

Traduction Phonétique Texte de l'invocation
Mon Dieu, Seigneur du mois de Ramadan, Celui qui a fait descendre le Coran, voici le mois de Ramadan durant lequel Tu as révélé le Coran, et (Tu as révélé) les signes évidents de la Guidance et de la Loi. Mon Dieu, pourvois-nous de son jeûne, aide-nous à T'adorer durant ce mois. Mon Dieu, rends-le sain pour nous, fais que nous soyons en bonne santé durant ce [mois], accueille-le de notre part avec une facilité de Ta Part et une bonne santé, fais en sorte, dans ce que Tu arrêtes et mesures en ordre irrévocable, dans ce que Tu départages en ordre sage, la nuit d'al-Qadr, du décret arrêté qui n’est ni annulé ni modifié, de m'inscrire parmi les pèlerins de Ta Maison Sacrée dont le hajj est agréé, le sai'î gratifié, les péchés pardonnés et les mauvaises actions expiées, et fais en sorte, dans ce que Tu arrêtes et mesures, de prolonger ma vie, d’augmenter mes ressources licites. Âllâhumma, rabba shahri ramadâna, munazzila-l-qurâni, hadhâ shahru ramadâna al-ladhî anzalta fihi al-qurâna, wa anzalta fihi âyâtinn bayyinâtinn mina-l-hudâ wa-l-furqâni. Allâhumma, arzuqnâ siyâmahu, wa a‘innâ ‘alâ qiyâmihi. Allâhumma, sallimhu lanâ, wa sallimnâ fihi, wa tasallamhu minnâ, fi yusrinn minka wa mu‘âfatinn. wa-ja‘l fimâ taqdî wa tuqaddiru mina-l-amri-l-mahtûmi,wa fimâ tafruqu mina-l-amri-l-hakîmi fi laylati-l-qadri, mina-l-qadâ’i-l-ladhî lâ yuraddu wa lâ yubaddalu, an taktubanî min hujjâji baytika-l-harâmi, al-mabrûri hajjahum, al-mashkûri sa'yuhumu, al-maghfûri dhunûbuhumu, al-mukaffari ‘anhum ayyi’âtutuhum, wa-ja‘l fî-mâ taqdî wa tuqad- diru, an tutîla ‘umrî wa tuwas-si‘a ‘alayya A rizqî al-halâli. اللَّهُمَّ رَبَّ شَهْرِ رَمَضَانَ مُنَزِّلَ الْقُرْآنِ هَذَا شَهْرُ رَمَضَانَ الَّذِي أَنْزَلْتَ فِيهِ الْقُرْآنَ وَ أَنْزَلْتَ فِيهِ آيَاتٍ بَيِّنَاتٍ مِنَ الْهُدَى وَ الْفُرْقَانِ اللَّهُمَّ ارْزُقْنَا صِيَامَهُ وَ أَعِنَّا عَلَى قِيَامِهِ اللَّهُمَّ سَلِّمْهُ لَنَا وَ سَلِّمْنَا فِيهِ وَ تَسَلَّمْهُ مِنَّا فِي يُسْرٍ مِنْكَ وَ مُعَافَاةٍ وَ اجْعَلْ فِيمَا تَقْضِي وَ تُقَدِّرُ مِنَ الْأَمْرِ الْمَحْتُومِ وَ فِيمَا تَفْرُقُ مِنَ الْأَمْرِ الْحَكِيمِ فِي لَيْلَةِ الْقَدْرِ مِنَ الْقَضَاءِ الَّذِي لا يُرَدُّ وَ لا يُبَدَّلُ أَنْ تَكْتُبَنِي مِنْ حُجَّاجِ بَيْتِكَ الْحَرَامِ الْمَبْرُورِ حَجُّهُمْ الْمَشْكُورِ سَعْيُهُمْ الْمَغْفُورِ ذُنُوبُهُمْ الْمُكَفَّرِ عَنْهُمْ سَيِّئَاتُهُمْ وَ اجْعَلْ فِيمَا تَقْضِي وَ تُقَدِّرُ أَنْ تُطِيلَ لِي فِي عُمْرِي وَ تُوَسِّعَ عَلَيَّ مِنَ الرِّزْقِ الْحَلالِ .
رَبِّی وَ رَبُّکَ اللَّهُ رَبُّ الْعَالَمِینَ اللَّهُمَّ أَهِلَّهُ عَلَیْنَا بِالْأَمْنِ وَ الْإِیمَانِ وَ السَّلامَةِ وَ الْإِسْلامِ وَ الْمُسَارَعَةِ إِلَى مَا تُحِبُّ وَ تَرْضَى ...

Traduction Phonétique Texte de l'invocation
Mon Seigneur et ton Seigneur, Dieu, le Seigneur des mondes, notre Dieu, fais apparaître sur nous la nouvelle lune avec la sécurité, la foi, le salut, la soumission, l’empressement vers ce que Tu aimes et dont Tu es Satisfait.Notre Dieu, comble-nous de Tes Bénédictions pendant notre mois que voici, pour- vois-nous de ses biens et de son aide, écarte de nous sa nuisance, son mal, ses épreuves, ses tentations. Rabbî wa rabbuka, Allâhu rabbu-l-‘âlamîna, Allâhumma, ahillahu ‘alaynâ bi-l-amni, wa- l-îmâni, wa-s-salâmati, wa-l-islâmi, wa-lmusâra‘ati ilâ mâ tuhibbu wa tarda.Allâhumma, bârik lanâ fî shahrinâ hadhâ, wa-rzuqnâ khayrahu wa ‘awnahu wa-srif ‘annâ durrahu wa sharrahu wa balâ’ahu wa fitnatahu. رَبِّی وَ رَبُّکَ اللَّهُ رَبُّ الْعَالَمِینَ اللَّهُمَّ أَهِلَّهُ عَلَیْنَا بِالْأَمْنِ وَ الْإِیمَانِ وَ السَّلامَةِ وَ الْإِسْلامِ وَ الْمُسَارَعَةِ إِلَى مَا تُحِبُّ وَ تَرْضَى اللَّهُمَّ بَارِکْ لَنَا فِی شَهْرِنَا هَذَا وَ ارْزُقْنَا خَیْرَهُ وَ عَوْنَهُ وَ اصْرِفْ عَنَّا ضُرَّهُ وَ شَرَّهُ وَ بَلاءَهُ وَ فِتْنَتَهُ
Il est rapporté que quand le Messager de Dieu(s) voyait l’apparition de la nouvelle lune du mois de Ramadan, il tournait le visage vers la Qiblah et disait :
Notre Dieu, fais apparaître sur nous la nouvelle lune avec la sécurité, la foi, le salut, la soumission, la santé/salut auguste, la protection contre les maladies, l’aide pour la prière, le jeûne, l’accomplissement [des actes cultuels], la récitation du Coran. Notre Dieu, fais que nous soyons sains et saufs pour le mois de Ramadan, reçois-le de nous sain et sauf, et rendsnous sains et saufs durant ce mois, de sorte qu’à la fin du

mois de Ramadan, Tu nous aies absous, Ita nous aies pardonnés et Tu nous aies fait Miséricorde.

Allâhumma, ahillahu ‘alaynâ bi-l-amni, wa-l-îmâni, wa assalâmati, wa-l-islâmi, wa al-‘âfiyati al-mujallalati, wa difâ‘i-l-asqâmi, wa-l-‘awni ‘alâ as-salâti wa-s-siyâmi wa-l-qiyâmi wa tilâwati-lqurâni.Allâhumma, sallimnâ li-shahri ramadâna, wa tasallamhu minnâ, wa sallimnâ fîhi, hattâ yanqadiya ‘annâ shahru ramadâna, wa qad ‘afawta ‘annâ, wa ghafarta lanâ, wa rahimtanâ. اللَّهُمَّ أَهِلَّهُ عَلَیْنَا بِالْأَمْنِ وَ الْإِیمَانِ وَ السَّلامَةِ وَ الْإِسْلامِ وَ الْعَافِیَةِ الْمُجَلَّلَةِ وَ دِفَاعِ الْأَسْقَامِ [وَ الرِّزْقِ الْوَاسِعِ‏] وَ الْعَوْنِ عَلَى الصَّلاةِ وَ الصِّیَامِ وَ الْقِیَامِ وَ تِلاوَةِ الْقُرْآنِ اللَّهُمَّ سَلِّمْنَا لِشَهْرِ رَمَضَانَ وَ تَسَلَّمْهُ مِنَّا وَ سَلِّمْنَا فِیهِ حَتَّى یَنْقَضِیَ عَنَّا شَهْرُ رَمَضَانَ وَ قَدْ عَفَوْتَ عَنَّا وَ غَفَرْتَ لَنَا وَ رَحِمْتَنَا
Premier jour * Faire al-Gusl (les ablutions majeures)

اَللّهُمَّ قَدْ حَضَرَ شَهْرُ رَمَضانَ وَقَدِ افْتَرَضْتَ عَلَینا صِیامَهُ وَاَنْزَلْتَ فیهِ الْقُرآنَ هُدی لِلنّاسِ وَبَیناتٍ مِنَ الْهُدی وَالْفُرْقانِ اَللّهُمَّ اَعِنّا عَلی صِیامِهِ وَتَقَبَّلْهُ مِنّا وَتَسَلَّمْهُ مِنّا وَسَلِّمْهُ لَنا فی یسْرٍ مِنَک وَعافِیةٍ اِنَّک عَلی کلِّشَیءٍ قَدیرٌ

invocation du jour

Réciter l'invocation de :

اَللّهُمَّ اجْعَلْ صِیامِی فِیهِ صِیامَ الصَّائِمِینَ...

Traduction Phonétique Texte de l'invocation
Mon Dieu, fais que mon jeûne, durant ce [jour], soit un jeûne de jeûneurs, que mon activité [pour T’adorer], pendant ce [jour], soit une activité de ceux qui s’activent [pour T’adorer], mets-moi en garde, durant ce [jour], contre le sommeil des insouciants, accorde-moi [le pardon] de mes crimes, durant ce mois, ô Dieu des mondes, et pardonne-moi, ô Celui qui pardonne aux criminels Allâhumma, aj'al siyâmî fihi siyâma-s-sâ’imîna, wa qiyâmî fihi qiyâma-l-qâ’imîna, wa nabbihnî fihi ‘an nawmati-l-ghâfilîna, wa hab lî jurmî fihi, yâ ilâha-l-âlamîna, wa a‘fu ‘annî, yâ ‘âfiyann, ‘ani-l-mujrimîna اَللّهُمَّ اجْعَلْ صِیامِی فِیهِ صِیامَ الصَّائِمِینَ وَ قِیامِی فِیهِ قِیامَ الْقَائِمِینَ وَ نَبِّهْنِی فِیهِ عَنْ نَوْمَةِ الْغَافِلِینَ وَ هَبْ لِی جُرْمِی فِیهِ یا إِلَهَ الْعَالَمِینَ وَ اعْفُ عَنِّی یا عَافِیا عَنِ الْمُجْرِمِینَ