Rompre les liens du sang

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Rompre les liens du sang ou couper les liens familiaux ou couper la parenté ou rompre liens familiaux (en arabe : قطع الرحم) signifie couper la communication et rencontrer des parents ou de la famille, l'un des grands péchés qui n'est pas également permis envers les parents de mauvaise humeur ou pécheurs.

Le Coran et les hadiths interdisent la coupe des liens familiaux et ils mettent l'accent sur les liens familiaux. Selon un hadith al-Qudsî (sont des paroles non coraniques de Dieu, qui sont citées par le Prophète (s)), les liens familiaux viennent de la miséricorde de Dieu, et quiconque la quitte sera privé de Sa miséricorde.

Concept

Le mot ar-Rahim (الرحم) dans «les liens ou la coupe familiaux» est une métaphore de la parenté et de la proche. La coupe des liens familiaux est le contraire des liens familiaux (صلة الرحم) et signifie :

«couper ou rompre les liens avec les proches, même s'ils sont attribués à la personne par plusieurs intermédiaires».

Certaines noms et attributs de Dieu, tels que ar-Rahmân (le tout miséricordieux) et ar-Rahîm (le très miséricordieux), sont liés lexicalement et sémantiquement à "ar-Rahim". Dans un hadith al-Qudsî Allah dit :

«Je suis Dieu le Tout Miséricordieux ; J'ai créé ar-Rahim et l'ai tiré de Mon Nom ; ainsi, quiconque qui ont les liens familiaux, je le relierai à Ma Miséricorde, et quiconque rompt les liens familiaux, je le retirerai de Ma Miséricorde."

Limite de Parenté

Il existe deux types de parenté :

  • La parenté relative (an-Nasabî) qui se trouve avec les liens familiaux, comme le père, la mère, les enfants, le frère, la sœur, l'oncle, la tante, les grands-parents et les enfants de tous ceux qu'ils appellent des parents relatifs. La coupe des liens familiaux n'est pas autorisée avec ce groupe.
  • La parenté as-Sababî (avec une cause) qui découle du mariage ; Comme la parenté entre mari et femme et parents des deux côtés. Il y a désaccord sur la question de savoir si le caractère sacré de la coupe des liens avec ce groupe.

Précepte sur la coupe des liens familiaux

L'islam interdit sévèrement rompre des liens familiaux et le considère comme un grande péché. Dans un hadith, le péché de la coupe des relations familiales est considéré comme celui du polythéisme envers Dieu.

Dans le Coran, Dieu maudit ceux qui rompent les liens du sang et menace de rendre ses yeux et ses oreilles incapables de comprendre la vérité. L'Imam as-Sajjâd (a) a dit :

"Évitez de vous associer avec quelqu'un qui a été coupé de ses proches. Comme je l'ai trouvé, une telle personne a été maudite à trois endroits dans le Coran :
Ceux qui violent le pacte d'Allah, après son Alliance, (qui) tranchent les liens (les liens du sang) qu'Allah a ordonné de maintenir et (qui) sèment le scandale sur la terre, ceux-là seront les Perdants.
(au contraire), ceux qui violent le pacte d'Allah après Son Alliance, qui tranchent les liens qu'Allah a ordonné de maintenir, qui sèment le scandale sur la terre, sur ceux-là malédiction ! À ceux-là Détestable Demeure !
Si vous tournez le dos, vous sera-t-il possible de semer le scandale sur la terre et de rompre vos liens du sang? (22) (Ceux qui font cela sont) ceux qu'Allah a maudits, en sorte qu'Il les a rendus muets et a aveuglés leurs yeux.(23)

Dans les hadiths et la vie des Ahl al-Bayt (a), l'aide, le soutien et l'amitié pour les proches sont assez clairs et il est strictement interdit de couper les liens avec leurs proches et couper liens du sang a été présenté comme un facteur pour éloigner de grâce et miséricorde de Dieu.

Relation avec la parenté est si importante pour Dieu que même si les méchants ont de bonnes relations avec leurs familles, Dieu les augmentera leurs biens ; en revanche, si ceux qui sont des gens de prière et de jeûne, s'ils coupent les liens du sang, leur subsistance seront réduites, en plus du châtiment de l'au-delà.

Toutes les Marja' interdisent la coupe des liens parentés, par exemple :

"La rompre des liens du sang n'est pas autorisée par ceux qui sont des familles, et la relation parentée est obtenue non seulement en voyageant avec des proches, mais aussi en saluant et en envoyant des messages par téléphone ou par lettre.
«La rompre des liens de parenté est interdite, même si l'autre partie a interrompu la communication plus tôt, et il ne fait pas la prière, il boit du vin ou il ne respecte pas les règles de la religion, comme le voile (Hidjâb), et même si la prédication et les orientations ne le bénéficiaient pas. Mais avec cette condition que la communication avec lui ne l'encourage pas à continuer de faire al-Harâm (les choses interdites).

Certains jurisconsultes croient que même en cas de communication avec certains de leurs proches et le fait de se rendre chez eux les bouleversent et nous insultent, le devoir de relation avec eux n'est pas perdu et la relation doit être continué et ce devoir doit continuer d'une autre manière.

Conséquences de rompre du sang

Certaines des conséquences de la rompre avec des proches sont :

  • La malédiction de Dieu
  • La punition mondaine rapide
  • Reste loin du Paradis
  • Ne pas bénéficier de faire autre chose
  • Les anges de la miséricorde n'aident pas
  • Mettre la richesse de la société entre les mains des personnes sales
  • Priver la personne et ses proches de la miséricorde divine

Rangs

La rompre du sang a des degrés et des niveaux et le critère de sa réalisation est la compréhension des gens. Les niveaux les plus importants sont :

  • La rompre les liens parentés avec la langue
  • La rompre les liens parentés dans le cœur
  • La rompre les liens parentés dans la finance
  • La rompre les liens parentés avec l'action
  • Rompre les liens du sang avec les pécheurs

Si l'un des parents de l'homme est un pécheur et ignore les questions religieuses, nous ne pouvons rompre les liens avec lui que si nous croyons que cela (rompre les liens) l'empêchera de commettre le péché. Dans la sourate at-Tawba, le prophète Ibrâhîm (a) a demandé pardon pour son oncle et a accompli l'un des exemples des liens du sang, mais après s'être rendu compte qu'il était l'ennemi de Dieu, il l'a évité.

Voir aussi

Références

Bibliographie