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« Sourate al-Falaq » : différence entre les versions
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''Al-mu’awwidhatân'' « les deux refuges » ou « les Deux Préservatrices », qui sert à désigner le couple formé par les deux dernières sourates du Coran (''al-Falaq'' et ''[[Sourate an-Nâs|an-Nâs]]''), chargées d’un pouvoir protecteur contre tous les maléfices et ces deux sont lues en tant que ''at-Ta’widh'', c’est-à-dire les lire ou les porter pour protéger contre les ''[[djinns]]'', les tentations de satan et contre tout les maux des créatures. | ''Al-mu’awwidhatân'' « les deux refuges » ou « les Deux Préservatrices », qui sert à désigner le couple formé par les deux dernières sourates du Coran (''al-Falaq'' et ''[[Sourate an-Nâs|an-Nâs]]''), chargées d’un pouvoir protecteur contre tous les maléfices et ces deux sont lues en tant que ''at-Ta’widh'', c’est-à-dire les lire ou les porter pour protéger contre les ''[[djinns]]'', les tentations de satan et contre tout les maux des créatures. | ||
Au sujet des mérites de la récitation de la sourate ''al-Falaq'', il est rapporté dans les hadiths : si quelqu'un récite cette sourate et la sourate an-Nâs est comme celui qui récite tous les livres des prophètes divins. | Au sujet des mérites de la récitation de la sourate ''al-Falaq'', il est rapporté dans les hadiths : « si quelqu'un récite cette sourate et la sourate an-Nâs est comme celui qui récite tous les livres des prophètes divins. » | ||
Il est également cité que le [[Prophète (s)]] considérait les deux sourates ''al-Falaq'' et ''an-Nâs'' comme les sourates plus aimées auprès de Dieu. | Il est également cité que le [[Prophète (s)]] considérait les deux sourates ''al-Falaq'' et ''an-Nâs'' comme les sourates plus aimées auprès de Dieu. | ||
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Il est rapporté du [[Prophète (s)]] que si quelqu'un récite les deux sourates ''an-Nâs'' et ''al-Falaq'' est comme celui qui récite tous les livres des prophètes divins.<ref>At-Tabrisî, Fadl b. Hasan. Majma‘ al-Bayân fî Tafsîr al-Qurʾân, v 10, p 491, Téhéran, Maktabat al-'Ilmiyya, édition 1, 1338 HS.</ref> | Il est rapporté du [[Prophète (s)]] que si quelqu'un récite les deux sourates ''an-Nâs'' et ''al-Falaq'' est comme celui qui récite tous les livres des prophètes divins.<ref>At-Tabrisî, Fadl b. Hasan. Majma‘ al-Bayân fî Tafsîr al-Qurʾân, v 10, p 491, Téhéran, Maktabat al-'Ilmiyya, édition 1, 1338 HS.</ref> | ||
L’[[Imam al-Bâqir (a)]] a également dit : Quiconque lit la sourate ''al-Falaq'' et ''an-Nâs'' dans la [[prière ''al-Watr'']] , il lui est dit : Ô serviteur de Dieu, réjouis-toi, Dieu a accepté ta prière.<ref>At-Tabrisî, Fadl b. Hasan. Majma‘ al-Bayân fî Tafsîr al-Qurʾân, v 10, p 491, Téhéran, Maktabat al-'Ilmiyya, édition 1, 1338 HS.</ref> | L’[[Imam al-Bâqir (a)]] a également dit : « Quiconque lit la sourate ''al-Falaq'' et ''an-Nâs'' dans la [[prière ''al-Watr'']] , il lui est dit : Ô serviteur de Dieu, réjouis-toi, Dieu a accepté ta prière. »<ref>At-Tabrisî, Fadl b. Hasan. Majma‘ al-Bayân fî Tafsîr al-Qurʾân, v 10, p 491, Téhéran, Maktabat al-'Ilmiyya, édition 1, 1338 HS.</ref> | ||
Il est également cité que le Prophète (s) considérait les deux sourates ''al-Falaq'' et ''an-Nâs'' comme les sourates les plus aimées auprès de Dieu.<ref>Al-Majlisî, Muhammad Bâqir, Bihâr al-Anwâr, v 92, p 368, Qom, Daftar Entesharât Eslâmî, 1403 H</ref> | Il est également cité que le Prophète (s) considérait les deux sourates ''al-Falaq'' et ''an-Nâs'' comme les sourates les plus aimées auprès de Dieu.<ref>Al-Majlisî, Muhammad Bâqir, Bihâr al-Anwâr, v 92, p 368, Qom, Daftar Entesharât Eslâmî, 1403 H</ref> | ||
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Dans un autre hadith du Prophète (s), quiconque récite les sourates ''at-Tawhîd'', ''[[Sourate an-Nâs|an-Nâs]]'' et ''al-Falaq'' dix fois par nuit, c'est comme lire tout le Coran et et il sort de ses péchés, comme le jour où il est né de sa mère, et s'il mort ce jour-là ou cette nuit-là, il sera considéré comme un martyr.<ref>Al-Kaf'amî, Al-Balad al-Amîn, p 33</ref> | Dans un autre hadith du Prophète (s), quiconque récite les sourates ''at-Tawhîd'', ''[[Sourate an-Nâs|an-Nâs]]'' et ''al-Falaq'' dix fois par nuit, c'est comme lire tout le Coran et et il sort de ses péchés, comme le jour où il est né de sa mère, et s'il mort ce jour-là ou cette nuit-là, il sera considéré comme un martyr.<ref>Al-Kaf'amî, Al-Balad al-Amîn, p 33</ref> | ||
Il est rapporté du prophète (s) : Il m’a été révélé des versets dont il n’a jamais été révélé de semblables précédemment : les deux demandes de protection.<ref>Al-Bahrânî, Al-Burhân Fî Tafsîr Al-Qur'ân, v 5, p 820, Bonyâd Be'that, Téhéran, 1416 H</ref> | Il est rapporté du prophète (s) : « Il m’a été révélé des versets dont il n’a jamais été révélé de semblables précédemment : les deux demandes de protection. »<ref>Al-Bahrânî, Al-Burhân Fî Tafsîr Al-Qur'ân, v 5, p 820, Bonyâd Be'that, Téhéran, 1416 H</ref> | ||
Selon l'[[Imam Ali an-Naqî (a)]]: Si quelqu'un récite depuis l'enfance chaque nuit 3 fois la Sourate ''al-Falaq'', 3 fois la Sourate ''an-Nâs'' et 100 fois (ou à défaut 50 fois) la [[Sourate ''al-Ikhlâs'']], Allah le mettra à l'abri de toutes les maladies des yeux, de toutes les maladies qui atteignent les enfants, de toutes les maladies de l'estomac, de la haute ou basse pression etc. aussi longtemps qu'il continuera cette récitation, il sera protégé contre ces maladies jusqu'au moment de sa mort.<ref>Al-kulaynî, Al-Kâfî, v 2, p 456</ref> | Selon l'[[Imam Ali an-Naqî (a)]]: « Si quelqu'un récite depuis l'enfance chaque nuit 3 fois la Sourate ''al-Falaq'', 3 fois la Sourate ''an-Nâs'' et 100 fois (ou à défaut 50 fois) la [[Sourate ''al-Ikhlâs'']], Allah le mettra à l'abri de toutes les maladies des yeux, de toutes les maladies qui atteignent les enfants, de toutes les maladies de l'estomac, de la haute ou basse pression etc. aussi longtemps qu'il continuera cette récitation, il sera protégé contre ces maladies jusqu'au moment de sa mort. »<ref>Al-kulaynî, Al-Kâfî, v 2, p 456</ref> | ||
Il est recommandé de la lire chaque jour et chaque nuit.<ref>Al-Bahrânî, Al-Burhân Fî Tafsîr Al-Qur'ân, v 5, p 820, Bonyâd Be'that, Téhéran, 1416 H</ref> | Il est recommandé de la lire chaque jour et chaque nuit.<ref>Al-Bahrânî, Al-Burhân Fî Tafsîr Al-Qur'ân, v 5, p 820, Bonyâd Be'that, Téhéran, 1416 H</ref> |