Fitrah ou la Nature innée
Le terme fitrah désigne la nature innée de l’être humain, créée par Dieu et commune à tous les hommes. Elle est inhérente à l’homme dès sa naissance, ne s’acquiert ni par l’expérience ni par l’enseignement, et est inséparable de lui. Dans la culture islamique, le terme fitrah est spécifique à l’homme, tandis que les traits innés communs aux humains et aux animaux sont appelés instincts (ghariza). La fitrah se divise en deux branches : cognitive et dispositionnelle. Les connaissances directes et immédiates de l’homme, les propositions existentielles, les évidences premières et les raisonnements intrinsèques comptent parmi les exemples les plus importants de la cognition innée (fitrah). De même, la tendance humaine à rechercher la vérité, à désirer le pouvoir, à apprécier la beauté (l’art), à aimer le bien, la vertu et la créativité sont des manifestations de l’inclination innée (fitrah).
Selon le Coran, la connaissance de la religion et, conformément aux traditions islamiques, l’attirance pour les principes des croyances islamiques relèvent de la fitrah. De nombreuses interprétations de l’argument de la fitrah ont été formulées pour prouver l’existence de Dieu. L’existence ou l’absence de la fitrah dans la nature humaine fait débat parmi les savants occidentaux. Les penseurs opposés à l’idée de fitrah estiment que la nature humaine est influencée par l’environnement et la société, et que l’homme ne possède pas une fitrah indépendante de ceux-ci.
Sémantique
Le terme fitrah provient de la racine arabe « faṭara » (فَطَرَ), qui signifie littéralement « fendre »,[1] « inventer sans modèle préexistant »,[2] ou encore « qualités et caractéristiques innées ».[3] Comme la création divine implique une sortie du néant, le terme fitrah est également utilisé pour désigner l’acte de création.[4][Note 1] Plusieurs définitions conceptuelles de la fitrah ont été proposées. Allama Tabataba’i, exégète chiite, la décrit comme le facteur guidant la connaissance théorique et l’inclination pratique vers la perfection réelle et le bonheur véritable.[5][Note 2] Mohammad-Taqi Misbah Yazdi, philosophe chiite, y voit une guidance divine innée dans l’existence humaine, à la fois dans le domaine de la cognition et des émotions.[6] Abdoullah Jawadi-Amoli, autre exégète chiite, considère la fitrah comme ce qui distingue l’homme de l’animal (la différence essentielle), à savoir la raison et le désir d’atteindre la perfection absolue.[7]
Le mot fitrah et ses dérivés (fitrī) sont employés dans divers contextes (logique, philosophie, théologie, mystique)[Note 3], mais partagent une idée centrale : une connaissance ou une inclination conforme à la nature humaine, qui ne s’acquiert ni par l’expérience ni par l’enseignement[8] et qui est inséparable de l’homme.[9]
Différence entre Fitrah et instinct
Linguistiquement, fitrah a un sens large englobant les traits innés communs aux humains et aux animaux (par exemple, le désir de se nourrir, les pulsions sexuelles, l’amour-propre). Cependant, dans la culture islamique, le terme fitrah est réservé aux caractéristiques exclusivement humaines, tandis que les traits partagés avec les animaux sont qualifiés d’instincts (gharīza).[10]
Nature cognitive et dispositionnelle
La notion de « fitrah » (nature innée) a été abordée dans deux domaines : la cognition et la tendance, chacun ayant des sous-catégories:[11]
- Cognitions qualifiées d’innées :
- Les connaissances présentielles (non conceptuelles et immédiates) de l’être humain, comme sa connaissance présentielle de lui-même, sont innées et ancrées dans sa nature originelle.
- Les propositions de conscience qui reflètent une connaissance présentielle, comme la croyance en « J’existe » ou « Je suis heureux ». Bien que ces propositions relèvent d’une connaissance conceptuelle, elles sont dites innées car elles expriment directement une connaissance présentielle.
- Les propositions que la raison valide sans recourir aux sens, à l’intuition ou au raisonnement, dès lors que les concepts du sujet, du prédicat et leur relation sont correctement saisis. Exemple : « La coexistence de deux contraires est impossible ». Ces propositions sont aussi appelées premiers principes ou axiomes primaires.
- Les propositions dont la démonstration est intrinsèque, ne nécessitant ni réflexion complexe ni raisonnement élaboré. Exemple : « Quatre est la moitié de huit ». Elles sont nommées axiomes secondaires.
- Les propositions théoriques proches des évidences, où la raison valide des vérités via un raisonnement simple. Exemple : « Dieu existe ». Bien que théoriques, ces propositions innées diffèrent des axiomes secondaires en exigeant une réflexion minimale.
- Dans la philosophie ishrāq (illuminationniste), toutes les propositions évidentes (conscientes, primaires, secondaires, empiriques, etc.) sont considérées comme innées, tandis que les propositions théoriques sont jugées non innées.[12]
La nature perceptive de l’humain est imposable, impérissable, immuable, universelle et orientée vers la perfection absolue.[13]
- Tendances que l’on a qualifiées d’innées:
- Tendance à la quête de vérité, persistante tout au long de la vie.
- Tendance vers le pouvoir, qui ne trouve l’apaisement que dans l’aspiration à une source de puissance infinie.
- L’amour du beau et la création artistique, qui ne se satisfont qu’en atteignant la beauté absolue et illimitée.
- Tendance à l’amour et à l’affection, culminant dans le dévouement et l’adoration de l’être aimé.[14]
- Tendance au bien, à la vertu et à la créativité.[15]
Nature générale et spécifique
Certains penseurs contemporains, s'appuyant sur des textes religieux, ont conclu qu'en plus des dispositions innées communes à tous les êtres humains, chaque individu pourrait posséder des dispositions spécifiques à lui-même. Ainsi, chaque personne, en raison d'une épreuve subie dans le monde des particules (عالم ذر), aurait acquis une nature et des traits de caractère innés qui lui sont propres.[16]
La Fitrah dans le Coran et les hadiths
Les termes dérivés de fitrah apparaissent vingt fois dans le Coran, mais seul un verset utilise explicitement le mot « fitrah » : (فَأَقِمْ وَجْهَكَ لِلدِّینِ حَنِیفًا فِطْرَتَ اللَّـهِ الَّتِی فَطَرَ النَّاسَ عَلَیهَا لَاتَبْدِیلَ لِخَلْقِ اللَّـهِ ذَٰلِكَ الدِّینُ الْقَیّمُ وَ لَـٰكِنَّ أَكْثَرَ النَّاسِ لَایعْلَمُونَ) «Dirige tout ton être vers la religion exclusivement [pour Dieu], telle est la nature que Dieu a originellement donnée aux hommes - pas de changement à la création de Dieu -. Voilà la religion de droiture; mais la plupart des gens ne savent pas.» (Sourate Ar-Rûm, 30:30).
Ce verset, ainsi que de nombreux hadiths, indiquent clairement l'existence d'une fitrah divine en chaque être humain, orientée vers la reconnaissance de la religion. Le martyr Motahhari, s'appuyant sur ce verset, interprète cette création particulière comme une prédisposition humaine à accepter la religion. Selon lui, si l'homme était laissé à lui-même, il choisirait naturellement la voie religieuse, à moins que son environnement ou des conditions sociales ne le corrompent.[17] De son côté, Allama Tabataba’i décrit la religion comme conforme à la fitrah et aux besoins humains. Il la définit comme un ensemble de principes théoriques et de lois pratiques dont le respect garantit le bonheur véritable. Il souligne que l'attirance pour cette religion est inscrite dans la nature humaine, reflétant ainsi l'harmonie entre la législation divine (دین) et la création (تکوین).[18] [Note 4]
Contenu des hadiths relatifs à la Fitrah
La plupart des hadiths sur la fitrah concernent les fondements de la doctrine islamique, tels que la connaissance de Dieu, le monothéisme, la prophétie et l'imamat, compilés dans des ouvrages comme Al-Kâfi et Man lâ yahduruhu al-faqîh.[19] Selon ces hadiths, l'homme possède des dispositions innées dans les domaines de la croyance, de l'action et de l'éthique.[20] Certains textes affirment que tous les humains naissent avec cette fitrah divine,[Note 5] grâce à laquelle ils reconnaissent instinctivement Dieu comme Créateur et Seigneur des cieux et de la terre,[Note 6] ainsi que Son unicité.[Note 7] Certains hadiths incluent même la reconnaissance du Prophète et de l'Imam parmi les manifestations de la fitrah.[Note 8] D'après un hadith de l'Imam Sadiq (A-S), une éducation inappropriée peut altérer cette fitrah, au point d'y faire naître une inclination pour le polythéisme.[Note 9] Cependant, le caractère inné de ces connaissances ne signifie pas que les humains en sont conscients dès la naissance.[21]
Argument de la Fitrah
Certains penseurs musulmans considèrent l’argument de la Fitrah (nature innée) comme l’une des preuves de l’existence de Dieu. Cet argument est exprimé de plusieurs manières différentes :
- Dieu a intégré la connaissance de Lui-même dans la nature innée et la constitution humaine. Si l’homme revient à cette Fitrah, il reconnaît et perçoit naturellement Dieu.[22]
- Un sentiment et un désir intérieurs attirent l’homme vers Dieu.[23]
- Par sa Fitrah, l’homme aspire à la perfection absolue. Comme cette Fitrah est commune à tous les êtres humains et ne se trompe pas, il doit nécessairement exister un Être dans l’univers possédant cette perfection absolue, justifiant ainsi cet élan universel.[24]
- L’existence de Dieu (al-Wâjib) est innée, face à des situations terrifiantes, l’homme se tourne instinctivement vers Dieu, la Cause des causes, Celui qui dissipe les difficultés. Même s’il ignore cette tendance, elle témoigne de l’existence divine.[25]
- Les concepts «amant et d'être aimé» (âshiq wa mashûq) sont interdépendants : l’un ne peut exister sans l’autre. Puisque l’homme (âshiq) existe, Dieu (mashûq) existe nécessairement.[26] Selon Jawadi Amoli, l’homme, assoiffé de vérité dans ce monde, la découvre en lui-même, puis s’attache à la Vérité Absolue, Dieu.[27]
Existence ou absence de la Fitrah selon les penseurs non-musulmans
La nature et les contenus de la Fitrah divisent les penseurs non-musulmans. Platon, Descartes, Leibniz et d’autres rationalistes soutiennent son existence. En revanche, John Locke, les empiristes, les marxistes et les existentialistes la rejettent, attribuant toutes les connaissances à l’expérience et à l’influence socio-environnementale. Cette opposition structure des frontières philosophiques majeures en Occident.[28] Théorie de Platon: Toute connaissance humaine est innée, originaire du (le monde des exemples).[29][Note 10]
Moyens d’épanouir la Fitrah
Plusieurs voies sont proposées pour révéler la Fitrah :
- Le désespoir total: Privé de tout espoir terrestre, l’homme se tourne vers un Être transcendant.
- L’observation des créations: Contempler les créatures et l’ordre cosmique éveille l’attraction vers Dieu.[30]
Note
- ↑ Il est rapporté d'Ibn Abbas qu'il a dit : « Je n'ai compris le sens du mot "fitrah" (فطرت) mentionné dans le Coran que lorsque je suis tombé sur un Bédouin du désert qui a utilisé ce terme dans un contexte précis. Quand il l'a employé, le sens du verset m'est devenu clair. C'était lorsque deux Bédouins sont venus se disputer au sujet d'un puits. L'un d'eux déclara : *"Ana fatartouha"* (أنا فطرتها), voulant dire que le puits lui appartenait. Son intention était d'affirmer : "Je l'ai creusé en premier, j'en suis le propriétaire originel." (En effet, lorsqu'un puits est creusé, l'eau finit par baisser avec le temps, nécessitant de le creuser à nouveau, plusieurs mètres plus profondément.) Il souhaitait ainsi souligner qu'il en était le premier possesseur. » Ibn Abbas ajoute : « C'est à ce moment que j'ai saisi la signification du terme "fitrah" dans le Coran : une création entièrement originelle chez l'être humain, sans équivalent même chez les autres créatures. » Motahhari a utilisé ce (hadith) comme preuve que le mot "fitrah" est l'un de ceux que le Coran a employés pour la première fois. En effet, Ibn Abbas, cousin du Prophète, issu des Qouraych et érudit, n'était pas un non-Arabe ignorant de la langue — son autorité linguistique renforce cette interprétation.
- ↑ ومن المعلوم أن الفطرة لا تهتدي علماً و لا تميل عملاً إلا إلى ما فيه كمالها الواقعي و سعادتها الحقيقية.
- ↑ 1.Terme logique: L’une des six catégories d’axiomes évidents en logique est celle des « vérités innées » (fiṭriyāt), décrites comme « des propositions dont la démonstration est intrinsèque » (قضایا قیاساتها معها). Leur vérité est reconnue dès la conceptualisation de la proposition elle-même, sans recours à des éléments externes. Exemple : le fait que « deux est la moitié de quatre ». 2. Innéisme platonicien : Platon affirmait que toutes les connaissances humaines proviennent de la raison, dont les racines préexistaient, avant l’union de l’âme au corps, dans le monde des Formes (عالم مُثُل). Cependant, l’homme les aurait oubliées. 3. Perceptions potentielles: Connaissances et perceptions actuellement latentes dans l’esprit humain, qui se manifestent progressivement avec le temps. 4. Quasi-évident: Propositions que le grand public saisit facilement grâce à un raisonnement simple. 5. Définition mystique: En mystique (irfān), la fiṭra (nature primordiale) est parfois définie comme le monde de la Toute-Puissance (عالم جبروت), qui précède les mondes matériel (maddii) et angélique (malakūt). Qabasāt, n°36, Mohammad Hassan Ghadrdan Qaramaleki, Théologie innée, arguments et objections. En logique, les « vérités innées » (fiṭriyāt) sont classées parmi les propositions évidentes. Elles sont définies comme des propositions dont la démonstration ou le syllogisme accompagne la proposition elle-même : la conceptualisation des termes suffit à en valider la preuve. Exemple : « Le tout est plus grand que sa partie » (Qutb-Din Razi, Tahrīr al-Qawā‘id al-Mantiqiyya, vol.1, p.166-167). Le point commun entre les « vérités innées » (fṭriyyāt) et la « nature primordiale » (fiṭrah) est qu’aucune des deux ne nécessite un enseignement ou une expérience externe.
- ↑ فتبين أن من الواجب أن يتخذ الدين ـ أي الأصول العلمية والسنن والقوانين العملية التي تضمن باتخاذها والعمل بها سعادة الإنسان الحقيقية ـ من اقتضاءات الخلقة الإنسانية وينطبق التشريع على الفطرة والتكوين ، وهذا هو المراد بكون الدين فطريا
- ↑ امام صادق(ع): إنَّ اللهَ عزوجل خَلَقَ الناسَ كُلَّهُم عَلی الفطرةِ الّتی فَطَرَهُمْ عَلَیها.کلینی، محمد، اصول کافی، تحقیق: علیاکبر غفاری، تهران، دارالکتب الاسلامیة، چاپ دوم، ۱۳۸۹ق.: ج۲، ص۴۱۶
- ↑ 1. L’Imam Al-Bâqir (A-S) rapporte du Prophète (PSLF) que tout nouveau-né vient au monde avec la fitrah (nature innée), et ce que l’on entend par fitrah ici est la connaissance innée que Dieu est son Créateur. Le verset coranique : (وَلَئِن سَأَلْتَهُم مَّنْ خَلَقَ السَّماوَاتِ وَالْأَرْضَ لَیقُولُنَّ اللهُ) « Et si tu leur demandes qui a créé les cieux et la terre, ils répondront certainement : “Allah” » (Luqman, 25). Al-Kâfî, édition Islamiyah, vol. 2, p. 12. L’Imam Ali (as) déclare : « Louange à Allah qui a inspiré à Ses serviteurs le devoir de Le louer et les a créés avec une nature imprégnée de la connaissance de Sa Seigneurie. » Al-Kâfî, édition Islamiyah, vol. 1, p. 139.
- ↑ امام علی(ع): کلمة الإخلاص فانّها الفطرة.الفقیه: ج۱، ص۲۰۵؛ نهجالبلاغه: ۱۶۳
- ↑ الامام الباقر(ع) فِی قَوْلِهِ فِطْرَتَ اللهِ الَّتِی فَطَرَ النَّاسَ عَلَیها قَالَ هُوَ لاإِلَهَ إِلَّا اللَّهُ مُحَمَّدٌ رَسُولُ اللهِ عَلِی أَمِیرُ الْمُؤْمِنِینَ وَلِی اللهِ إِلَی هَاهُنَا التَّوْحِیدهو لاإله إلا الله، محمد رسول الله، علی أمیرالمؤمنین ولی الله، الی ههُنا التوحید. تفسیر قمی، ج۲، ص۱۵۵
- ↑ عَنْ أَبِی عَبْدِ اللهِ(ع) أَنَّهُ قَالَ: مَا مِنْ مَوْلُودٍ یولَدُ إِلَّا عَلَی الْفِطْرَةِ فَأَبَوَاهُ اللَّذَانِ یهَوِّدَانِهِ وَ یُنَصِّرَانِهِ وَ یمَجِّسَانِهِ وَ إِنَّمَا أَعْطَی رَسُولُ اللَّهِ(ص) الذِّمَّةَ وَ قَبِلَ الْجِزْیةَ عَنْ رُءُوسِ أُولَئِكَ بِأَعْیانِهِمْ عَلَی أَنْ لایهَوِّدُوا. شیخ صدوق، من لایحضره الفقیه، انتشارات اسلامی، ج۲، ص۴۹
- ↑ Platon croyait que pour chaque type d'entités existantes, il existait une forme idéale dans le monde des intelligibles. Par exemple, l'humain possède un individu parfait (distinct des individus corporels) dans le monde des intelligibles, et cet individu n'est pas corporel. De même, les autres types d'êtres corporels ont chacun un individu non corporel qui sert d'intermédiaire pour transmettre le flux d'existence aux membres de leur propre espèce. C'est pourquoi chacun d'eux est appelé (seigneur du genre). http://erfanvahekmat.com/دانشنامه/عالم_مثل
Références
- ↑ 1- Taj Al-Aroos, Vol. 13, p. 325
- ↑ 2- Sihah Al-Jawhari, 1407 AH, Vol. 2, p. 781
- ↑ 3- Dictionnaire de la langue, sous le mot « Fitr » ; Les ressources les plus proches pour le mot "fitrah"
- ↑ 4- Nihayah d'Ibn Athir, 1399 AH, vol. 3, p. 457
- ↑ 6- Tabataba'i, Al-Mizane, vol. 19, p. 271.
- ↑ 7- Misbah Yazdi, Ma'rif al-Quran, p. 26
- ↑ 8- Anthropologie religieuse, n° 23, Javadi Amoli, p. 7
- ↑ 9- Encyclopédie du monde islamique, Centre de la grande encyclopédie islamique, extrait de l'article « Physique », n° 7306
- ↑ 10- Un groupe d'écrivains, Pensée islamique 2, p. 31.
- ↑ 11- Hosseinzadeh, Une perspective épistémologique sur la révélation, l’inspiration, l’expérience religieuse et mystique et la nature, 2011, pp. 233-234 et p. 239.
- ↑ 12- Hosseinzadeh, Un regard épistémologique sur la révélation, l’inspiration, l’expérience religieuse et mystique et la nature, 2011, p. 234.
- ↑ 13- Hosseinzadeh, Une perspective épistémologique sur la révélation, l'inspiration, l'expérience religieuse et mystique et la nature, 2011, pp. 234-238.
- ↑ 14- Un groupe d'écrivains, Pensée islamique 2, p. 31.
- ↑ 15- Hosseinzadeh, Une perspective épistémologique sur la révélation, l'inspiration, l'expérience religieuse et mystique et la nature, 2011, pp. 239-244.
- ↑ 16- Un groupe d'écrivains, Pensée islamique 2, p. 31.
- ↑ 17- Qabasat, n° 36, Reza Barenjkar, La nature dans les hadiths
- ↑ 18- Motahari, Morteza, Fetrat, Sadra Publications, 14e édition, 2003, pp. 19-21
- ↑ 19- Tabatabaei, Mohammad Hossein, Al-Mizane, Vol. 16, p. 193
- ↑ 20- Qabasat, n° 36, Reza Barenjkar, La nature dans les hadiths
- ↑ 21- Qabasat, n° 36, Reza Barenjkar, La nature dans les hadiths
- ↑ 22- Qabasat, n° 36, Reza Barenjkar, La nature dans les hadiths
- ↑ 23- Tehrani, Mirza Jawad Agha, Mizan al-Matalib, Institut Dar Rah al-Haqq, p. 47
- ↑ 24- Motahari, Morteza, Recueil d'œuvres, vol. 4, p. 42
- ↑ 25- Imam Khomeiny, Explication du Hadith des Soldats de la Sagesse et de l'Ignorance, p. 103
- ↑ 26- Mulla Sadra, Al-Mabda' et Al-Ma'ad, 1354, p. 23.
- ↑ 27- Jawadi Amoli, Explication des arguments pour la preuve de Dieu, 2011, pp. 294-299.
- ↑ 28- Jawadi Amoli, Explication des arguments pour la preuve de Dieu, 2011, p. 297.
- ↑ 29- Qabasat, numéro 36, Ali Asghar Khandan, Un regard sur les dimensions de la théorie de la nature et l'innéité du langage Qabsat, numéro 36, Mohammad Hassan Ghadardan Qaramalki, Théologie innée, preuves et doutes
- ↑ 30- Qabasat, n° 36, Mohammad Hassan Qaderdan Qaramalki, Théologie innée, preuves et doutes
- ↑ 31- Sobhani, Pensée islamique 1, 2012, p. 64.