Zuhayr b. al-Qayn al-Bajalî

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Zuhayr b. al-Qayn al-Bajalî (en arabe : زهیر بن القین البجلی) fait partie des compagnons de l’Imam al-Husayn (a) et des martyrs de Karbala. Quelques jours avant l’événement de Karbala, il se joignit au caravane de l’Imam (a) et fut en martyre le jour de Achoura.

Zuhayr qui était de la tribu Bajîla était considéré comme l'un des hommes nobles et braves de Koufa. Il participa à beaucoup de guerres et conquêtes et avait une position élevée parmi les gens. Son père al-Qayn, selon certaines sources, faisait partie des compagnons du Prophète Muhammad (s).

Se joindre à l’Imam al-Husayn (a)

Certains disent que Zuhayr b. al-Qayn était parmi les partisans de Uthman b. Affan. Dans les fins de l’année 60 h au mois de Dhu al-Hijja, l’Imam al-Husayn (a) laissa le hadj à moitié terminé, avec sa famille sortit de La Mecque et se dirigea vers Koufa.

Lors du retour du hadj à Koufa, Zuhayr acompagné de sa femme, de ses prochs parents et de certains gens de sa tribu rencontra la caravane de l’Imam al-Husayn (a) dans l’un des stations sur la route. D’après ad-Dînawarî, cette rencontre eut lieu dans la station nommée Zarûd.[1]

L’Imam (a) envoya quelqu’un chez Zuhayr en lui demandant de se voir. Ce demande était si incroyable que selon les rapports, ceux qui étaient à table firent tomber leurs bouchées et restèrent immobiles, comme si un oiseau s’assoit sur leurs têtes.[2]

Au début, Zuhayr n’aimait pas aller à cette rencontre. Mais son épouse, Dulham bt. ‘Amr, lui dit :

« Gloire à Allah[3] ! Al-Husayn la fils de Fatima t'appelle et ne vas-tu pas chez lui ? Si tu vas le voir, entends ses mots et reviens, cela ne te nuit pas. »

Comme ça, il alla chez l’Imam al-Husayn (a) contre sa volonté. [4]

Cette réunion changea le cours de sa vie. Malheureusement, il n’y a pas de rapport sur les détails de cette réunion.
Après cette rencontre qui était courte,[5] Zuhayr revint avec joie chez sa famille et ses amis et ordonna de déplacer sa tente à côté de celle de l’Imam al-Husayn (a).[6]
A propos du changement de la vie de Zuhayr après le rencontre avec l’Imam (a), deux preuves sont mentionnées dans l’histoire :

1 Après le retour de la tente de l’Imam (a), il fit ses adieux à sa femme en lui disant :

« Je te répudie. allez chez toi avec ton frère. Je me suis décidé à mourir avec al-Husayn (a). »[7]

Aussi, il dit à ses compagnons :

« Quiconque de vous veut, il peut venir avec moi, sinon c'est notre dernière rencontre.[8] Je vous raconte une histoire : dans la guerre Balinjir, nous avons vaincu l’ennemi et avons acquis des butins. Salman al-Farisi ou selon certaines sources Salman al-Bâhilî[9] nous a dit : vous réjouissez-vous de ce qu’Allah vous a accordé et des butins vous ont atteint ?
Nous lui avons répondu : oui. Il nous a dit : quand vous atteignez à l’époque du Jeune de la famille de Muhammad (l’Imam al-Husayn), à ce moment-là réjouissez-vous de combattre et être tué à côté de lui plus que d'acquérir ces butins.

Moi, je vous confie à Dieu. »[10]

2 Quand l’un des ennemis dit à Zuhayr que tu étais parmi les partisans de Uthman, en réponse, Zuhayr lui dit :

« J’ai rencontré al-Husayn et je me suis souvenu du Messager d’Allah et de la place d'al-Husayn auprès du Prophète. Alors, j’ai décidé de l’aider. »

Certaines sources citèrent que Salman b. Mudârib, le cousin de Zuhayr, également avec Zuhayr se joignit à l’armée de l’Imam al-Husayn (a).[11]

Discours de Zuhayr b. al-Qayn dans la station Zhû Husam

Lorsque la caravane de l’Imam al-Husayn (a) se trouva en présence de l’armée d’al-Hurr b. Yazid ar-Rîyâhî, l’Imam (a) fit un discours dans le territoire Zhû Husam. Dans une partie du discours, il avait dit :

« Il nous est tombé dessus l'adversité que vous voyez tous. Sachez que ce bas monde a changé, il a renié et tourné le dos à la vertu. Ne voyez pas que la vérité n’est pas suivie, que le mal n’est pas banni, afin que le croyant puisse rencontrer son Seigneur conformément à la vérité ? De toute évidence, je ne vois dans la mort qu’un aveu et dans la vie sous les tyrans que dégoût. »[12]

Après le discours de l’Imam (a), Zuhayr fut la première personne qui déclara son obéissance à l’Imam (a) en disant :

« Ô fils du Messager de Dieu ! Nous avons entendu votre parole. Par Allah, si le monde était éternel et nous y étions immortels, cependant nous le laissions, t’aidions et t’aurions rejoint. »

L'Imam (a) pria pour lui et l'apprécia.[13]

Proposition de la guerre à al-Hurr

La caravane de l’Imam al-Husayn (a) arriva à Ninive le jeudi 2 Muharram de l’année 61 h. Al-Hurr b. Yazid al-Rîyâhî qui était également à Ninive, prit une lettre de la part de ‘Ubayd Allah b. Zîyâd dans laquelle il écrivit :

« Lorsque tu a pris ma lettre, sois dur avec al-Husayn et ne lui permets de s’installer que dans un désert sans défense et sans eau. J’ai ordonné à mon envoyé d’être avec toi jusqu’à ce qu’il m’informe de ton obéissance. »

Al-Hurr informa l’Imam al-Husayn (a) du contenu de la lettre. L’Imam (a) lui dit : « Laisse-nous descendre à Ninive ou al-Qâdirîyya ou Shufayh. » Al-Hurr répondit que ‘Ubayd Allah envoya un espion pour m'observer et je ne peux pas vous laisser. Zuhayr dit :

« Que mon père et ma mère soient en rançon pour toi, ô fils de l’Envoyé de Dieu. Par Allah, la lutte avec ce groupe est possible pour nous. Mais si d’autres groupes lui se joignent, nous allons faire quoi ? Permets-nous de le combattre. Certes la guerre avec eux est plus facile pour nous que celle avec les autres groupes qui viennent. »

L’Imam (a) :

« Je déteste être débutant de la guerre, jusqu’à ce qu’ils commencent. »

Zuhayr :

« Près de nous et à côté de l'Euphrate, il y a un village avec des fortifications naturelles. Si l’armée d’al-Hurr nous empêche d’y aller, nous les combattons, car la guerre avec les soldats d’al-Hurr est plus facile que l’armée qui viendra après. »

L’Imam (a) lui demanda :

« Comment s’appelle ce village ? »

Zuhayr :

« Al-‘Aqar. »

Imam (a) :

« Je me réfugie auprès de Dieu d'al-‘Aqar. »[14]

Jour de Tâsû‘â

Article connexe : jour de Tâsû‘â.

L’après-midi du jour de Tâsû‘â, l’armée de ‘Umar b. Sa‘d attaqua les tentes de l’Imam al-Husayn (a). Ce dernier qui s’assit devant sa tente dit à son frère, al-Abbas, d’aller vers eux et de leur demander sur ce qu’ils veulent. Accompagné de 20 cavaliers y compris Zuhayr et Habîb, al-Abbas vint chez l’armée de l’ennemi et demanda de leur but.

Ils dirent :

« C’est l’ordre de l’émir selon lequel vous vous livrez ou nous vous combattons. »

Al-Abbas (a) revint chez l’Imam (a) pour l’informer de ce qu’ils dirent. Ses compagnons y restèrent et prêchèrent l’ennemi. Habîb b. Mudhâhir leur dit :

« Par Dieu, le peuple le plus pire auprès d’Allah au Jour Dernier est le peuple qui lutte contre lui (l’Imam al-Husayn). Vous tuez le fils de Son Envoyé et sa famille … »

‘Azarat b. Qays qui était l’un des soldats d’Ibn Zîyâd dit :

«Tu peux être vaniteux autant que tu veux. »

En réponse, Zuhayr dit :

« Ô ‘Azara ! Certes Allah l’avait purifié et dirigé. Sois pieux ô ‘Azara. Je suis pour toi un bon conseiller. Que Dieu te mette dans la voie droite, ne sois pas parmi les gens égarés qui tuent les hommes purs. »

‘Azara :

« Ô Zuhayr ! Tu n’étais pas parmi les chiites de cette famille. »

Zuhayr :

« Maintenant que je suis avec al-Husayn, cela ne te suffit pas que je suis parmi ses chiites ? Je jure devant Allah, je ne lui ai écrit jamais la lettre, ne lui a envoyé personne et n’ai promis de l’aider. Mais, la vois a rassemblé entre moi et lui. Quand je l’ai vu, je me suis souvenu du Prophète et du statut d’al-Husayn chez lui. J’ai compris qu’il se rend vers son ennemi. J’ai voulu donc l’aider, être parmi son parti et me sacrifier pour lui. Vous avez négligé le droit d’Allah et du Messager d’Allah. »[15]

Vieille de Achoura

Article connexe : Vieille de Achoura.

La veille de Achoura, l’Imam al-Husayn (a) retira l’allégeance de ses compagnons et de sa famille. Il leur dit qu’ils peuvent aller et sauver leur vie. Mais, chacun des compagnons déclara sa fidélité envers l’Imam (a). Après les Ahl al-Bayt de l’Imam (a), Après Muslim b. ‘Uwsaja, Zuhayr b. al-Qayn se leva et dit : « Par Allah, j’aime être tué, revivre et être tué encore, jusqu’à ce que je sois tué mille fois afin que Dieu te protège, toi et ta famille. »[16]

Événement de Achoura

Commandement de l’aile droite

Article connexe : Événement de Achoura.

Le matin du jour de Achoura et après la prière du matin, l’Imam al-Husayn (a) organisa l’armée et les compagnons. Il choisit Zuhayr comme le commandement de l’aile droite et Habîb comme le commandement de l’aile gauche de l’armée. Il donna la drapeau de guerre à son frère, al-Abbas.[17]

Conseil à l’armée de ‘Umar b. Sa‘d

Le jour de Achoura et avant le commencement de la guerre, l’Imam al-Husayn (a) se mit à conseiller aux forces de l’ennemi. Après lui, Zuhayr b. al-Qayn obtint la permission de l’Imam (a) et parla au peuple de Koufa. Il dit :

« Ô gens de Koufa ! Je vous averti de la punition divine. Le conseil du mulsuman est un devoir pour un autre musulman. Tant qu’il n’a pas lieu une guerre, nous sommes tous, même maintenant, frères et nous avons une religion. Mais quand la guerre a lieu, notre unité est violée et nous serons une communauté et vous, vous serez une autre communauté. Allah nous a éprouvé, nous et vous, par les enfants de Muhammad (s) pour voir lequel de nous et de vous agirons. Nous vous appelons à l’aider et à lutter contre l’oppresseur, ‘Ubayd Allah b. Zîyâd. Pendant le règne de ‘Ubayd Allah et de son père, vous n’avez vu d’eux que le mal. Ils vous ont crevé les yeux, vous ont coupé les mains et les pieds, vous ont muyilé, vous ont crucifié sur les stipes du palmier et ont tué vos meneurs et vos lecteurs du Coran comme Hujr b. ‘Adîyy, ses compagnons, Hânî b. ‘Urwa etc. »

L’armée de ‘Umar b. Sa‘d insulta Zuhayr et loua Ibn Zîyâd en disant :

« Par Dieu, nous ne quittons pas ici à moins que nous tuions votre maître et ses compagnons ou que nous le livrions à Ibn Zîyâd. »

Zuhayr répondit :

« Ô serviteurs d’Allah ! Certes, l’enfant de Fatima (la fille du Prophète Muhammad (s)) est digne de l’amitié et du soutien plus que le fils de Sumayya (la mère d’Ibn Zîyâd). Si vous ne l’aidez pas, ne le tuez pas donc. Par ma vie, Yazid se satisfait de votre obéissance même vous ne tuez pas al-Husayn (a). »

En lui lançant une flèche, Shimr lui dit :

« Tais-toi. Que Dieu te fasse mourir. Tu nous as ennuyé avec ces mots. »

Zuhayr répondit :

« Ô fils de celui qui urine sur ses pieds[18] ! Je ne te parle pas. Tu n’es qu’un bête. Par Allah, je ne pense pas que tu sais deux versets du Coran. Au Jour de la Résurrection, tu seras pris en humiliation et châtiment douloureux. »

Shimr :

« Dieu te tuera maintenant, toi et ton Maître. »

Zuhayr :

« Tu m'effraies de la mort ? Par Dieu, j’aime la mort avec lui plus que l’éternité avec vous. »

Ensuite, il s’écria en disant :

« Ô serviteurs de Dieu ! Que cette personne ville et grossière ne vous trompe pas sur votre religion. Par Dieu, l’intercession de Muhammad n'atteint pas le peuple qui a versé le sang de ses Ahl al-Bayt et celui des hommes qui les aident et les défendent. »

En ce moment, quelqu’un de l’armée de l’Imam al-Husayn (a) appela Zuhayr et lui dit que l’Imam (a) lui ordonne de revenir ; tout comme le croyant de la famille de Pharaon qui a conseillé le peuple mais ils n'ont pas écouté, toi aussi, tu les as conseillé. S’ils veulent, cela leur suffit.[19]

Célébrité de Zuhayr

Chez les koufites, Zuhayr était un homme brave, élevé et illustre. C’était pour cette raison qu’aux premières heures du jour de Achoura, Yasâr, l’esclave de Zîyâd b. Abîh, et Sâlim, l’esclave de ‘Ubayd Allah b. Zîyâd, appelèrent Zuhayr en duel. D’abord, Abd Allah b. ‘Umayr al-Kalbî vint combattre. Mais, Sâlim et Yasâr dirent que nous ne te connaissons pas. Dis à Zuhayr, Habîb ou Burayr, que l’un d’eux vienne.[20] Zuhayr se leva de les combattre, mais l’Imam al-Husayn (a) ne le permit pas et envoya Abd Allah b. ‘Uamyr pour se battre.[21]

Protéger les tentes de l’Imam (a)

Aux premiers instants de la guerre, Shimr b. Dhi al-Jawshan accompagné de certains soldats s’approcha des tentes de l’Imam al-Husayn (a) de derrière des tentes. Shimr porta à la tente de l’Imam (a) un coup de lance en disant :

« Apportez le feu afin que je brûle cette maison avec ceux qui sont dedans. »

L’Imam al-Husayn (a) s’écria :

« Ô fils de Dhi al-Jawshan ! Tu demandes du feu pour brûler ma tente avec ses gens ? Qu’Allah te brûle avec le feu. »

Zubayr accompagné des dix personnes attaqua Shimr et ses compagnons et les éloigna. Dans cette attaque, Zuhayr put tuer Abû ‘Azza ad-Dabâbî qui était le compagnon et le proch parent de Shimr.[22]

Se battre en duel

Selon un rapport, après que Habîb b. Muzâhir fut en martyre avant le midi, Zuhayr et al-Hurr b. Yazid allèrenr ensemble sur la champ de bataille. Dans le combat, il se soutinrent et quand l’un d’eux mettait dans une situation difficile, l’autre l’aidait. Finalement, al-Hurr fut tombé en martyre et Zuhayr revint au camp.[23]

Prière du midi de Achoura

Lors de la prière du midi, l’Imam al-Husayn (a) fit la prière de peur avec certains de ses compagnons. Zuhayr b. al-Qayn et Sa‘îd b. Abd Allah al-Hanafî se tinrent debout devant l’Imam (a) et les autres priants afin de les protéger des attaques de l’ennemi. Ils les défendirent avec leurs corps contre les flèches des soldats de ‘Umar b. Sa‘d jusqu’à la fin de la prière.[24]

Martyre

Après la prière de peur de l’Imam (a), Zuhayr récita ces poètes pour lui :

Avance, ô Guide et Bien-guidé
Aujourd’hui, tu rencontres ton grand-père, le Prophète.

Et aussi al-Hasan et Ali
Et Dhu al-Janâhayn,[25] l’homme courageux.

Et le lion de Dieu,[26] le martyre qui est vivant.

Après que l’Imam (a) lui permit de se battre, Zuhayr récita le rajaz en disant :

Je suis Zuhayr, je suis le fils d’al-Qayn
Je défend al-Husayn par mon épée.

Al-Husayn est l’un des petits-enfants
D’une famille que la bienfaisance et la piété sont leur parure.

Il est venu de la part de Dieu certainement
Je vous tue et il n’y a pas de honte à cela.

Il tua 120 personnes de l’armée ennemi[27] et finalement se tua par Kathîr b. Abd Allah ash-Sha‘bî et Muhâjir b. Aws at-Tamîmî.[28]

Imam al-Husayn (a) prie pour Zuhayr

Après le martyre de Zuhayr, l’Imam al-Husayn (a) prie pour lui et dit : « Qu’Allah ne t’éloigne pas de Sa miséricordieux ô Zuhayr. Que Dieu maudisse ton assassin comme la malédiction de ceux qui ont été transformés en singes et porcs. »[29]

Zuhayr dans le texte de zîyârat

Dans le texte de zîyârat des martyres de Karbala, nous lisons à propos de Zuhayr :

« Que la paix soit sur Zuhayr b. al-Qayn al-Bajalî qui dit à al-Husayn (a) lorsqu’il (l’Imam) lui a promis de revenir : non, par Dieu, jamais. Est-ce que j’abandonne le fils du Messager d’Allah (s) capturé par les ennemis et me sauve ? Non, que Dieu ne me fasse pas voir ce jour-là.  »[30]

Références

  1. Ad-Dînawarî, Al-Akhbâr at-Tuwâl, p 246
  2. As-Samâwî, Ibsâr al-‘Ayn fî Ansâr al-Husayn (a), vol 1, p 162
  3. L’arabe utilise cette expression lorsqu'il est surpris
  4. Al-Balâdhurî, Ansâb al-Ashrâf, vol 3, p 167 ; At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 3, p 365
  5. Sayyid ibn Tâwûs, Al-Luhûf
  6. Al-Balâdhurî, Ansâb al-Ashrâf, vol 3, p 167-168 ; At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 298 ; Mâmaqânî, Tanqîh al-Maqâl ,vol 1, p 452 - 453
  7. At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 396 ; Cheikh al-Mufîd, Al-Irshâd, vol 2, p 72 - 73 ; Al-Fattâl al-Nayshâbûrî, Rawdat al-Wâ‘izîn, vol 2, p 178 ; Ibn Namâ al-Hillî, Muthîr al-Ahzân, p 46 - 47
  8. Ad-Dînawarî, Al-Akhbâr at-Tuwâl, p 246 - 247
  9. At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 299
  10. At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 298 ; Cheikh al-Mufîd, Al-Irshâd, vol 2, p 73 ; Ibn al-Athîr al-Jazarî, Al-Kâmil fi at-Târîkh, vol 4, p 42 ; Al-Khârazmî, Maqatal al-Husayn, vol 2, p 323 ; Al-Bakrî, Mu‘jam ma Stu‘jam, vol 1, p 276 ; Al-Fattâl al-Nayshâbûrî, Rawdat al-Wâ‘izîn, vol 2, p 178
  11. As-Samâwî, Ibsâr al-‘Ayn fî Ansâr al-Husayn (a), vol 1, p 169
  12. At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol , p 396
  13. Al-Balâdhurî, Ansâb al-Ashrâf, vol 3, p 171 ; At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 305 ; Sayyid ibn Tâwûs, Al-Luhûf, p 138
  14. Al-Balâdhurî, Ansâb al-Ashrâf, vol 3, p 176 ; Ibn al-Athîr al-Jazarî, Al-Kâmil fi at-Târîkh, vol 4, p 51 - 52 ; Ad-Dînawarî, Al-Akhbâr at-Tuwâl, p 251 - 252 ; At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 309 ; Cheikh al-Mufîd, Al-Irshâd, vol 2, p 83 - 84
  15. Ibn A‘tham Kûfî, Al-Futûh, vol 5, p 177 - 178 ; Al-Balâdhurî, Ansâb al-Ashrâf, vol 3, p 184 ; Maqatal al-Husayn, Al-Khârazmî, vol 1, p 353 - 354 ; At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 315 - 316
  16. At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 318 ; Cheikh al-Mufîd, Al-Irshâd, vol 2, p 92 ; Sayyid ibn Tâwûs, Al-Luhûf, p 153
  17. At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 320 ; Al-Balâdhurî, Ansâb al-Ashrâf, vol 3, p 187 ; Cheikh al-Mufîd, Al-Irshâd, vol 2, p 95 ; Ad-Dînawarî, Al-Akhbâr at-Tuwâl, p 256 ; Ibn al-Athîr al-Jazarî, Al-Kâmil fi at-Târîkh, vol 4, p 59 ; Al-Khârazmî, Maqatal al-Husayn, vol 2, p 6 - 7
  18. Dans la langue arabe cette phrase est une allusion au fait d'être inculte
  19. At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 323 - 324 ; Ibn al-Athîr al-Jazarî, Al-Kâmil fi at-Târîkh, vol 4, p 63 - 64 ; Ya‘qûbî, Târîkh al-Ya‘qûbî, vol 2, p 244 - 245 ; Al-Balâdhurî, Ansâb al-Ashrâf, vol 3, p 188 - 189
  20. At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 327 ; Cheikh al-Mufîd, Al-Irshâd, vol 2, p 101
  21. ...
  22. At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 334 ; Ibn al-Athîr al-Jazarî, Al-Kâmil fi at-Târîkh, vol 4, p 69 - 70 ; Al-Balâdhurî, Ansâb al-Ashrâf, vol 3, p 194
  23. At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 336 ; Ibn al-Athîr al-Jazarî, Al-Kâmil fi at-Târîkh, vol 4, p 71 ; Al-Balâdhurî, Ansâb al-Ashrâf, vol 3, p 195
  24. Al-Khârazmî, Maqatal al-Husayn, vol 2, p 20 ; Sayyid ibn Tâwûs, Al-Luhûf, p 165
  25. Il signifie : celui qui a deux ailes. Ja‘far b. Abî Talib, le frère de l’Imam Ali (a), perdit ses deux mains dans la guerre. Selon les hadiths, au lieu de ses mains, Allah lui donna deux ailes dans le Paradis qu’il peut voler.
  26. C’est le surnom de Hamza b. Abd al-Muttalib, l'oncle du Prophète (s)
  27. ...
  28. Ibn Shahrâshûb, Al-Manâqib, vol 3, p 225 ; At-Tabarî, Târîkh at-Tabarî, vol 4, p 336 ; Al-Balâdhurî, Ansâb al-Ashrâf, vol 3, p 195 ; Ibn al-Athîr al-Jazarî, Al-Kâmil fi at-Târîkh, vol 4, p 71
  29. Al-Khârazmî, Maqatal al-Husayn, vol 2, p 23
  30. Sayyid ibn Tâwûs, Al-Iqbâl, vol 3 p 77 - 78